La stagiaire
Datte: 07/06/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
Oral
nopéné,
hdanus,
init,
... crois qu’il y a une tradition après les bons repas. Après le café on a droit à un pousse-café, lui dis-je. Son ton était malicieux, mais ferme. Ses yeux fixaient mes jambes et son sourire était coquin. Sa langue pointa doucement au centre de ses lèvres. À genoux devant mon fauteuil, elle écarta mes cuisses puis incita mes hanches à avancer. Son visage était infiniment pur et sublimement érotique. Ses yeux, comme fiévreux, respiraient le désir. Elle pressa un sein contre l’autre, me regardant et gloussant des feulements. L’index de sa main vint toucher mon sexe alors que l’autre caressait mon entre-jambes. Ses deux mains remontèrent pour ouvrir mon pantalon et l’abaisser. Sa main pénétra par l’ouverture de mon boxer et elle fit sortir mon sexe de sa prison de tissu. Elle l’évaluait doucement du regard et du geste, le caressant de haut en bas. Mon boxer rejoint mon pantalon sur mes chevilles. D’une main très douce elle caressait mes couilles, alors que de l’autre elle tira violemment sur ma queue, provoquant une surprise et quasi-douleur. — Tu es à moi, je peux te manger, t’aspirer, te mordre, te sucer ! Presque surprise par ces paroles, elle rajouta plus doucement : — Mais je ne sais pas si je peux avaler tout ça? Sa petite langue vint se planter en haut de mon sexe puis titiller le bout et toute sa longueur. Arrivée aux couilles, elle les avala, une à une, continuant à me branler d’une douce main. Bien plantée sur ses genoux, elle prit mon sexe en bouche et l’avala pour ...
... moitié, elle aspirait, pompait, sa langue dure et fine venait exciter mon méat. Puis sa tête plongea de nouveau et je la vis engouffrer toute ma bite, je sentais le fond de sa gorge. Elle me sourit à nouveau en caressant mes couilles. — Viens petit pousse-café, me dit-elle. J’ai peur de lui faire mal, de le mordre, je ne sais pas quand il va jouir. Est-ce que je peux l’avaler sans m’étouffer ? Ses couilles sont bien pleines, j’aime les veines sur sa queue, je les caresse d’un doigt, itinéraire improbable. Encore une fois, je le branle très fort, d’un coup sec. Je veux qu’il sache qu’il est à moi, dans mes mains, à ma merci pour sa jouissance. Son visage est tendu, surpris. J’alterne des bisous sur son bout, plus sombre que sa queue, et le pompe à petits coups réguliers. Je lui masse doucement son sexe entre mes seins, le regardant se détendre. Avec mon index, j’ouvre mon petit con encore trempé et lubrifie bien mon doigt. Ma main caresse ses fesses. Avant qu’il ne me repousse, je plonge sa queue dans ma gorge, je lui maintiens ses couilles dans une main et plonge, avec l’autre mon index dans son cul. Mon doigt fait des allers et retours, je le force et glisse mon majeur. Il halète, sa main vient sur mon cou, je sens sa bite enfler, je fais un peu d’espace pour le recevoir. Le premier jet gicle sur mon palais puis trois autres dans ma gorge et sur ma langue. Je respire un petit peu et avale tout ce foutre qu’il m’a donné. Je lape, savoure à petits coups de langue son sexe qui ...