Le pas du cheval du chevalier (parodie)
Datte: 02/10/2017,
Catégories:
fhh,
inconnu,
bizarre,
forêt,
Masturbation
pénétratio,
délire,
humour,
... sourit en les regardant. Ils ont l’air de deux grands enfants. Ou alors, d’extraterrestres tombés de la Lune. Anatole s’amuse à zapper toutes les cinq minutes. Armand, quant à lui, couve Pélagie d’un regard embué d’amour. Elle s’en amuse, et joue un peu avec lui. — Dites, damoiselle Pélagie, dit soudain Anatole, rompant son silence de serviteur. Pouvez-vous nous montrer cette « culotte » ? Je suis vraiment curieux de savoir à quoi cela ressemble, sur une femme ! Pélagie le regarde intensément. Elle voit un homme de trente ou quarante ans, brun, moustachu, vêtu comme l’as de pique. Puis elle regarde Armand, qui s’est débarrassé de l’armure en plastique qu’il avait sur le dos depuis un bon moment. Il portait un pyjama blanc sous sa cotte de mailles. C’est en fait un grand garçon dégingandé, aux longs cheveux bruns et épais, qu’il a coiffés en catogan, aux yeux bleus doux et rêveurs. Il doit avoir dans les vingt ans. Anatole attend impatiemment sa réponse. Pélagie devrait s’insurger. Leur dire qu’à cette époque-ci, les femmes ne montrent toujours pas leur lingerie à n’importe qui. Qu’elle n’est pas idiote, et qu’elle sait bien où mènera ce jeu, qui n’en est pas vraiment un, d’ailleurs. Qu’elle sait qu’ils ne viennent pas d’un autre monde, ni même d’une autre époque. Mais elle sourit. Elle ne dit rien. Elle a envie de jouer, finalement. De jouer avec ces deux hommes étranges, de jouer avec son corps, de jouer avec ses sens. Elle se lève, et coule un regard à Armand, qui n’a rien ...
... dit depuis un moment. Il la fixe d’un air passionné. Ses yeux bleus sont ouverts en grand, et il lui fait un sourire tremblant. Anatole a l’air moins innocent. Il déboutonne le haut de sa chemise à haut col, les yeux vissés sur les hanches de Pélagie. Elle ôte son pull d’un mouvement rapide. Elle porte un chemisier blanc, qu’elle ouvre avec lenteur, cette fois. Ses seins, moulés dans un soutien-gorge noir, apparaissent, et elle peut distinctement dire à quel moment les mâchoires de ses deux invités se sont décrochées. Bouche bée, yeux ronds, ils ne la dévisagent plus, trop occupés à reluquer sa poitrine, qui n’est pas très généreuse, mais suffisamment pour gonfler ses pulls. Pélagie sourit, et commence à déboutonner son jean. Elle le descend sur ses cuisses, puis sur ses mollets. Elle pourrait s’arrêter là. Elle a bu de la goutte, assez pour lui échauffer les sens, mais pas assez pour ne pas être consciente de ce qu’elle fait. Il faudrait qu’elle s’arrête là. C’est une question de bon sens. Mais tout, dans cette journée, a été d’une irréalité grotesque. Autant la finir jusqu’au bout. Elle passe sa main dans ses cheveux, avec sensualité, regarde les deux hommes qui ne perdent pas une miette de ses gestes. Armand est troublé. Anatole est excité. Elle voit une bosse déformer son pantalon noir, sous la ceinture. Cette vision excite davantage encore la jeune femme. Elle pose un doigt sur ses lèvres, les caresse délicatement. Armand semble hypnotisé. Anatole fixe ses jambes nues. ...