Le pas du cheval du chevalier (parodie)
Datte: 02/10/2017,
Catégories:
fhh,
inconnu,
bizarre,
forêt,
Masturbation
pénétratio,
délire,
humour,
... Elle s’assied sur un fauteuil, devant eux. Elle ouvre les cuisses. Leurs regards plongent directement entre ses jambes, dans la contemplation de sa culotte noire, un peu bombée par les poils de son pubis. — Alors messieurs, vous n’avez toujours pas retrouvé la mémoire ? s’enquit-elle d’un air candide. Évidemment, aucun des deux hommes ne prend la peine de lui répondre. Anatole a glissé sa main dans son pantalon, presque sans avoir l’air d’y penser. Armand louche sur son entrejambe, sans piper mot. Le chevalier a bien piètre allure, sans son armure, ses babioles sans intérêt, sa fausse épée en plastique et le casque de moto à visière noire qu’il a dû voler elle ne sait où. Pourtant, elle le trouve touchant. Sa préférence va à Armand. C’est en le regardant qu’elle s’enfonce dans le fauteuil, calant son dos contre le dossier, et soulève les jambes, qu’elle écarte toujours. Le jeune homme rougit. Elle constate qu’il a une érection d’enfer, lui aussi, sous son pyjama. Toujours en le fixant, elle pose une main sur son ventre nu. Elle frémit. L’idée d’exciter ces doux dingues la rend folle. La main de la jeune femme rampe vers sa culotte en dentelle noire. Elle la glisse sous l’élastique, et vient tâtonner entre ses poils, à la recherche de son clitoris. Elle le trouve enfin, et ferme un instant les yeux. Son intimité est chaude et humide. Pélagie sourit encore. Elle écarte largement le bord de sa culotte, révélant à la vue des deux hommes une toison blonde épaisse. Anatole en ...
... salive. Armand rougit davantage encore. Les yeux noirs de Pélagie brillent intensément. Elle se caresse devant eux, leur montrant son doigt qui va-et-vient contre le rose luisant de son clitoris érigé, entre les poils blonds. Un petit filet de liquide blanc s’échappe de sa fente trempée. Elle l’étale délicatement contre le bouton gonflé, puis se masturbe enfin, très vite, tant est grande son excitation. Ça lui fait un grand choc électrique dans tout le corps. Elle jouit tout de suite, par à-coups, dans un long gémissement. Anatole n’éprouve plus aucune gêne à se caresser devant eux. De toute manière, son maître est trop occupé à contempler Pélagie pour remarquer quoi que ce soit. La jeune femme enlève maintenant son soutien-gorge de ses mains tremblantes. Puis sa culotte. Elle fixe Armand droit dans les yeux, et celui-ci soutient son regard, à la fois troublé et amoureux. Elle lui sourit, mais ce sourire est tendu. Sans le lâcher du regard, elle passe une main légère sur ses seins libérés, attrape un téton, qui se durcit immédiatement entre ses doigts. Elle le tortille un peu, gémit, puis passe à l’autre. Ses yeux se voilent. De son autre main, elle se branle profondément, à deux doigts, les cuisses toujours ouvertes en grand. Ses mollets reposent sur les accoudoirs du fauteuil. Quand elle le veut, elle peut être très souple… Elle sort ses doigts de son intimité brûlante, vient les lécher, ne quittant pas Armand du regard. Celui-ci a envie de la rejoindre. Mais foutredieu ! Il n’a ...