1. Comment en apprendre sur la sylviculture


    Datte: 11/07/2020, Catégories: fh, fhh, hbi, inconnu, magasin, noculotte, facial, Oral pénétratio, fdanus, délire, fantastiqu,

    ... vinrent prendre appui sur mes épaules et elle plia les jambes jusqu’à ce que son sexe se pose sur ma bouche. La position, n’avait rien d’agréable car ma tête était penchée à l’extrême en arrière mais à ce moment-là, je n’y pensais pas, je lapais sa chatte qui s’humidifiait. Mes mains, écartant ses fesses au maximum, me permettaient de frôler de la langue son petit trou, ce qui eut le don de lui faire lâcher un soupir. Mais au moment où je voulus la faire redescendre, elle fut littéralement aspirée vers le haut. Le cri qu’elle poussa n’avait plus rien à voir avec le plaisir. Je restai un instant interdit, regardant le haut du mur et espérant voir sa tête réapparaître. — Irina ! appelai-je. Rien. Je fis alors des sauts pour atteindre le sommet, mais sans succès. Me retournant vers les portemanteaux, j’en saisis un pour m’en servir comme appui. La barre de fer verticale se plia, mais le pied refusa de décoller du sol. Je décidai de grimper en haut du portemanteau et de faire pencher vers le mur avec mon poids. Il se pencha un peu trop rapidement et je faillis retomber la tête la première. Heureusement, j’eus assez de réflexes pour me cramponner au mur. Après avoir repris mon souffle, je me hissai. Un miroir. J’aurais pu traverser un miroir. Même en hauteur, il y avait des portemanteaux remplis de fourrure. Mais pas de trace d’Irina. J’avançai un moment en l’appelant, puis en silence. Je savais qu’il ne fallait pas chercher de logique. J’arrivai dans une sorte de clairière où je ...
    ... décidai de m’asseoir. Le sol était inégal, bien que la moquette grisâtre l’épouse parfaitement. — Salut, me dit une voix inconnue, on se repose ? Je sautai sur mes pieds, me retournai et tombai nez à nez avec une femme corpulente d’une quarantaine d’années, vêtue d’un treillis et d’une veste de chasseur. Mais le plus impressionnant était sans aucun doute la hache qu’elle tenait dans sa main droite. — Bonjour, dis-je en lorgnant la hache, vous êtes ? La femme se mit à rire. — Je suis sûre que vous êtes perdu, non ?— Gagné ! Vous savez comment sortir de là ?— Le plus simple c’est de prendre à droite. En dix minutes, vous sortez de la forêt. Suivez-moi. Elle me tourna le dos et se dirigea vers les portemanteaux. — Tenez ! me dit-elle. Tout droit ! Surtout n’essayez pas de faire le malin là-dedans. Beaucoup de personnes se perdent ici. Faut connaître. Tout droit.— Vous ne venez pas ?— Heu… Non. J’ai encore du boulot. Au moins trois ou quatre vieux portemanteaux à abattre.— Avec la hache ?— Avec quoi d’autre. Tenez ! Regardez celui-là. Les manteaux sont mûrs ! Ils sont habités.— Je ne vois rien.— Ah ? Je suppose qu’il faut être du métier. Mais vous allez voir les fruits tomber au troisième coup de hache. Il paraît que la vieille Doulou peut abattre un portemanteau en quatre coups mais bon, je ne l’ai jamais vue faire. Mais moi, Marala, mon record c’est cinq, et avec témoins. Elle prit son élan et frappa la barre verticale du portemanteau. — Qu’est ce que vous en faites, après ?— ...
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