1. Hautefort au mois d'août. (4)


    Datte: 16/07/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... : - « N’aies pas peur de ce que tu ne maîtrises pas… » Une boule se forme dans mon ventre, un frisson me parcourt l’échine. On ne joue plus, je suis à sa merci. Il me serre fort, encore. La chaleur de son corps est si réconfortante. Je me détends, je fonds. Tout doucement, du bout de l’index, il trace de petits cercles autour de mon aréole. Elle se rétracte sous cette caresse délicieuse, faisant se dresser mon téton. Il le pince aussitôt, tire un peu dessus. Je me cambre en réponse à ses caresses. Mes fesses frôlent son bassin qu’il avance subrepticement. Le soleil est bas maintenant, un vent léger commence à se lever et caresse ma peau nue. Je frissonne, mes poils se hérissent, j’ai la chair de poule. Mes tétons déjà bien dardés se rétractent encore un peu plus. Il le sens et accentue cruellement la pression. La douleur parcourt mon ventre et se mue en plaisir. Sa main gauche quitte mon épaule pour parcourir mon ventre. Elle descend inexorablement, effleure ma taille, la courbe de ma hanche puis contourne l’ourlet de ma robe. Ses doigts glissent sous l’étoffe remontent très lentement et découvrent avec avidité l’intérieur de ma cuisse déjà humide. Il constate que je ne porte pas de culotte, s’immobilise puis se penche un peu : - "Hummmmmm... c’est parfait. » susurre-t-il contre ma joue. Il me presse contre lui pour me faire sentir l’ardeur de son excitation. Je creuse d’avantage mon dos et sens distinctement sa queue raidir contre mes fesses. Je suis trempée. Mon désir ...
    ... s’épanche entre mes cuisses, coule sur ses doigts qui explorent chaque repli de mon intimité. Il évite scrupuleusement mon petit bouton pourtant dru, réclamant expressément ses faveurs. Il met mes nerfs à rude épreuve. Puis sans crier gare, il enfonce ses doigts au cœur de ma fente étroite et entame et un va et vient féroce qui me coupe le souffle. Je voudrais crier, mais fais mourir les gémissements sur ma langue. Je sombre, je suis dans un état second. Plus rien n’existe. Il fait naitre en moi une envie irrépressible de l’embrasser, de le toucher, de le lécher. Instinctivement je passe une main dans mon dos, ouvre avec difficulté son pantalon, infiltre son boxer et libère sa queue tendue. Je retrouve avec plaisir sa chaleur, elle est si dure, si droite. Il saisit alors fermement mon poignet et replace ma main sur le panier du ballon. Sa bite frotte librement contre mes fesses. - "Je t’avais dit de laisser tes mains sur le bord » murmure-t-il les dents serrées. Il retire alors ses doigts de ma chatte et lui assène un coup sec du plat de la main. Je sursaute. Il recommence. Le coup résonne dans mes reins, mon clitoris est en feu, je suis déjà au bord de la jouissance. En équilibre. - «Tu la veux ? Tu aimerais que je te la mette ? J’acquiesce. - Fais une phrase et sois convaincante. - Je veux te sentir buter tout au fond de moi, susurré-je. - Bientôt, compte sur moi, mais pas ici. Pas comme ça. Il s’agit de toi aujourd’hui. - Justement… » Son doigt plein de mouille s’insère entre ...
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