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La servante
Datte: 07/10/2017, Catégories: fh, hplusag, fsoumise, soubrette, humilié(e), couche, Oral fgode, jeu, uro,
... dessus elle commença à pomper et absorba la sève blanche s’échappant en de longs jets. Elle effleura doucement le gland rouge du bout de la langue et arrima soigneusement l’objet tout entier dans le pantalon. Avec un sourire impénétrable sur ses lèvres brillantes d’humidité, elle se releva et souhaita une heureuse journée à Monsieur Babouche. Dans le vestibule, attendait Lisette qui la pressa de questions, pour savoir si cela lui avait fait mal. Denise posa un doigt sur ses lèvres et tira Lisette dans la niche la plus proche. Riant sous cape, elle souleva sa robe et baissa sa culotte en caoutchouc, montrant fièrement son derrière lisse à son amie. Lisette frappa dans ses mains avec enthousiasme et glissa indiscrètement sa main dans la couche de Denise. "Tu n’es pas encore mouillée." constata-t-elle avec étonnement. "Si papa ne t’a pas tanné le derrière ; il t’a sûrement couchée sur le bureau. Denise, ne me mets pas ainsi au supplice ! Dis-moi comment mon père t’a fait cela." "Tu peux deviner trois fois." répliqua Denise et une donna à Lisette un bon baiser. Lisette hésita, et promena le bout de sa langue sur ses lèvres. "Tu sens le sperme ! Tu as sucé papa, avoues-le !" "Devines." répondit Denise en riant. "Il ne savait absolument pas ce qui lui arrivait et il a éjaculé du premier coup." Elle cligna de l’oeil, confiante. "Toutes les deux, nous l’enseignerons aux hommes du domaine. Ne le penses-tu pas aussi ? Et ce soir je vais mettre Jacques à l’épreuve !" Lisette regarda ...
... Denise un peu septique. "Jacques pourra à peine attendre pour te prendre sur sa queue. Il est fort. Beaucoup plus fort que papa. Ne sois pas si sûre de pouvoir t ’en débarrasser si rapidement. Je pense plus tôt qu’il te donnera le coup de grâce en une seule fois. Maintenant viens, nous devons nous changer et conduire ensuite Madeleine au marché." La journée s’écoula très vite. Après le dîner elle eut du mal a attendre que Madame se retire et qu’elle la libère pour le reste de la soirée. Elle avait enveloppé Lisette dans ses couches et dans sa culotte en caoutchouc. Un peu plus tard elle la regarda avec jalousie entrer furtivement chez Jacques après s’être glissée le long des bâtiments d’exploitation. Maintenant Denise se tenait nue, tremblante d’émotion devant la commode ouverte et examinait ce qu’elle devait mettre comme culotte. Enfin elle se décida pour une culotte en caoutchouc blanc qui se fermait sur les cotés par des boutons pressions. Pendant un moment elle s’imagina comme elle serait tannée par Jacques dans la paille avec sa robe remontée et sa culotte en caoutchouc déboutonnée. Vite elle balaya ses pensées lubriques, elle mit un porte-jarretelles, enfila ses bas de soie noire sur ses longues jambes, les accrocha solidement et boutonna ensuite sa culotte en caoutchouc tout en se regardant dans la glace. "Je me sens follement lubrique." constata-t-elle et elle glissa une main entre ses cuisses. "Mon Dieu, le caoutchouc me rend folle, entièrement folle !" Vite elle passa ...