1. La servante


    Datte: 07/10/2017, Catégories: fh, hplusag, fsoumise, soubrette, humilié(e), couche, Oral fgode, jeu, uro,

    ... sa petite robe courte, ouvrit doucement la porte de la chambre et scruta les alentours. Tout était tranquille. Elle descendit l’escalier sur la pointe des pieds et quitta la maison sans bruit. À la pénombre du crépuscule, elle traversa rapidement la cour vers la petite maison des domestiques dont les fenêtres tendues de rideaux, laissaient filtrer une lueur traîtresse. Lorsqu’elle s’approcha très près, elle entendit des gémissements et des mots incohérents bredouillés par Lisette. La porte craqua nettement lorsqu’elle l’ouvrit et se glissa à l’intérieur. Mais elle ne sembla pas troubler les deux acteurs sur le sofa. Denise s’arrêta brutalement. Le tableau qui s’offrait à ses yeux la rendit instantanément humide entre les cuisses. Devant elle, Jacques, les fesses nues, couvertes de poils, se motivait à grands coup de haut en bas. Son dard énorme semblait défoncer la chatte humide et ruisselante de Lisette. En dehors des deux cuisses qui gigotaient elle ne voyait à première vue, absolument rien de Lisette. Tout le reste de son corps était enseveli sous Jacques et sous un grand drap en caoutchouc brun qui recouvrait aussi son visage. Les mains de Denise se dirigèrent tout naturellement entre ses cuisses, vers la culotte en caoutchouc chaude et humide. Fascinée, elle regarda fixement les jambes largement écartées de Lisette. L’une d’elle pendait sur le bord du sofa, l’autre à la cheville de laquelle pendait la culotte en caoutchouc mouillée de Lisette, se balançait, dressée ...
    ... contre le dossier du sofa. Peu après, Lisette commença à geindre d’une voix caverneuse et à freiner la queue de Jacques entre ses fesses. "Dieu, maintenant, ça vient !" murmura-t-elle, excitée. Jacques s’arrêta et descendit de Lisette, lorsqu’il sentit le corps de la jeune fille mollir sous lui. Encore un peu absente, Lisette s’assit aussi. Le drap en caoutchouc glissa à terre en bruissant. Avec des yeux ravis, elle vit d’abord Jacques avec sa queue toujours raide et ensuite Denise. "Oh !" dit-elle d’un air effrayé. "Tu es déjà là ? As-tu vu comme Jacques m’a merveilleusement baisée. Trois fois il m’a fait jouir et il est encore prêt à côté de moi. Ça c’est un homme !" Son regard tomba sur les mains de Denise qui jouaient toujours entre ses jambes et avec en regard de côté sur Jacques, elle dit : "Vas-y, Jacques ! Qu’attends-tu ? Tu ne vois pas comme elle mouille déjà ? Viens, maintenant c’est ton tour, Denise !" Ce faisant, elle se leva et poussa Denise presque avec violence sur le sofa. Nerveuses et brûlantes, ses mains retroussèrent la robe au-dessus de sa tête et une langue rugueuse agaça ses mamelons de sorte que les boutons se redressèrent durs et raides. En un tour de main, le caoutchouc brun fut étendu sur le sofa et une voix à peine perceptible murmura à son oreille : "A genoux, Denise, à genoux que je puisse déboutonner ta culotte en caoutchouc. Jacques doit te prendre par derrière. C’est généralement par là qu’on jouit le plus." Denise explosa pratiquement de lubricité. ...
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