1. Le promeneur (1)


    Datte: 31/07/2020, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... rejoignes. J’avoue que tu m’as impressionnée, cette nuit-là. Mais attention, jamais personne d’autre ne devra être au courant. — Ne vous inquiétez pas. Déjà que je n’ai rien dit de la première fois... et si c’est pour Catherine, je veux bien mourir de plaisir entre vos mains. — C’est toi qui as dessiné ça ? — Oui, de mémoire. — Pas mal, regardez, c’est la cave ! Là, Yvette quand on la tond et là Catherine qui me boit. Ouah, tu as un sacré joli coup de crayon. — Bof, c’est juste pour me souvenir de vous toutes. — Surtout de Catherine, n’est-ce pas ? — Et bien oui, je l’ai trouvée si belle sur ce banc à vous attendre dans sa position si particulière de parfaite soumise. La suite m’a donné raison vu que vous êtes toutes là. Yvette, ce crâne rasé, lisse, ça vous allait bien, vous savez. Si vous saviez ce que j’aurais voulu jouir dessus, vous ne pouvez pas t’en rendre compte. Mais, je l’avoue, mon cœur est allé vers Catherine. — Écoute beau gosse, nos soirées, nous les organisons que de temps en temps, quand notre boulot nous permet de toutes pouvoir y participer. Nous nous aimons. Et, à vrai dire, Martine et moi, n’étions pas très chaudes à l’idée d’avoir un homme parmi nous et nous ne le sommes toujours pas. — Je peux comprendre et j’en devine la raison. Un homme est trop brusque dans ses gestes. Il veut toujours aller directement au but, entre vos cuisses ou vos fesses. Avec vous, en vous voyant, j’ai pris une bonne leçon de tendresse, de douceur, de grâce, d’amour même. ...
    ... Chaque fois que vous fessiez, fouettiez ou pinciez, ce n’était pas avec cette violence vicieuse qui ne cherche qu’à infliger de la douleur, une douleur pour le seul plaisir de celui qui l’inflige. — Ouah, dis-moi, c’est ce que nous t’avons laissé comme impression ? — Pas qu’une impression, non, y avait plus encore, l’amour de chacun de vos gestes sur l’autre. — Aie, Catherine, ce mec me plait, on est mal. — Je l’aime aussi, les filles. C’est à cause de moi qu’il nous a suivis. Je l’avais remarqué en arrivant sur le banc. Je lui ai même fait signe de nous suivre. — Tu sais ce à quoi il faut t’attendre. — Oh oui et je mérite ce châtiment, je l’appelle même de mes vœux et devant lui. — Ok. Martine, vas chercher les sacs, s’il te plait. Je compris immédiatement que Catherine allait être punie, peut-être durement à cause de moi. Elles ont un règlement qu’elles suivent à la lettre et ma belle rousse l’avait enfreint volontairement juste pour moi, moi son inconnu. En attendant, Julie la belle et grande blonde, m’expliqua comment elles avaient commencé ces rendez-vous cachés. Comment, de fil en aiguille, elles aimaient, à tour de rôle, subir les cinq autres. Julie me montre un petit tatouage sur son épaule en m’apprenant que toutes portaient le même. Un bottillon sur lequel est attachée une femme par un long fouet. Il n’est pas grand, juste ce qu’il faut. Tu disais que nous ne frappions pas pour infliger de grosses douleurs. C’est à la fois faux et vrai. Là, Catherine nous a en quelque ...
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