La bénédiction (1) - Histoires de Sexe

La bénédiction (1)

... mollement le long de ses flancs ; son bassin ne tenait plus en l’air que parce que je l’agrippais fermement. Et il n’était pas question de le lâcher. Dans cette position, mon vit frottait encore plus fortement contre les parois de son vagin, augmentant encore la force de notre plaisir partagé. Il ne fallut pas beaucoup de temps pour que les cris, déjà puissants et nombreux, se transforment en hystérie. Elle était probablement entendue dans tout le quartier… Je savais qu’elle jouissait, mais je ne ralentissais pas pour autant et j’attendis qu’elle se calme pour me retirer et la laisser s’effondrer complètement sur le lit, en ronronnant, oublieuse du monde qui l’entourait. Mais moi, je n’eus pas l’heur de me reposer. Ma mère qui à un moment donné s’était déshabillée sans que je ne le remarque, trop occupé à pénétrer ma sœur, se jeta sur moi peu de temps après que je fus sorti du corps de sa fille. Elle me fit tomber sur le dos à côté de Samantha qui commençait à émerger, et s’empala sur moi, commençant sans autre forme de procès à me chevaucher. Comme toujours, elle avait fait passer ses filles avant elle, mais son corps lui réclamait aussi sa dose de sexe. Je ne sais pas exactement pourquoi j’avais tenu si longuement avec Samantha, mais il était certain que la vision de ma mère complètement délurée qui se donnait du plaisir sauvagement avec mon propre membre, ses gros seins rebondissant allègrement, son chignon auparavant si strict à moitié défait, son visage criant ...

... silencieusement la jouissance qui venait, et le plaisir qu’elle me donnait en s’en donnant n’allait pas me permettre de tenir la distance. Heureusement pour moi, me voir éjaculer dans la bouche de Samantha, faire jouir avec la mienne Natasha, puis prendre sauvagement la première ; recevant et donnant du plaisir de et à ses filles pendant ce temps (elle n’était pas restée sans rien faire avec Natasha quand j’étais avec Samantha) ne lui permettait pas non plus de garder le rythme longtemps sans jouir bruyamment. Le besoin était juste trop fort. Nous atteignîmes l’orgasme au même moment. Par un dernier coup, elle s’empala entièrement, n’eut pas la force de remonter et resta là, assise sur moi, tout à jouir et à ressentir ma semence, la semence de son fils, la remplir. Natasha se mit sur mes abdominaux, soutint ma mère et se mit à l’embrasser impétueusement. Samantha, qui nous observait toujours couchée à côté de moi, se déplaça afin que nous nous embrassions aussi. Une fois que nous fûmes redescendus du pinacle de nos orgasmes respectifs, mes sœurs cessèrent de nous embrasser. Ma mère démonta, et nous restâmes silencieux quelques instant, revivant dans nos esprits la folle matinée. C’est alors que Natasha vit sur mon réveil qu’il était déjà presque 14 heures. « Merde, j’ai rendez-vous à 15 heures en ville, je n’ai pas mangé et il faudrait que je me lave avant ! — Va te laver, répondit ma mère, je vais faire un truc rapide à manger pendant ce temps. Tu seras à l’heure. » Et les deux femmes ...