1. La bénédiction (1)


    Datte: 07/08/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... de sortir de ma chambre, nues, sans un regard en arrière, leurs sous-vêtements les plus sexy répandus sur le sol de ma chambre. Toujours couché sur le lit, mon esprit se mit enfin en marche, et je me mis à analyser la situation. Mais que s’était-il passé ? Comment était-il possible que ma mère et mes sœurs mettent au point le plan de me déniaiser ? Certes, la parole était libre sous ce toit, mais il n’y avait jamais rien eu d’aussi immoral qu’une orgie incestueuse ! Et Trish, comment continuer ma relation avec elle après ça ? Je venais de la tromper, alors qu’elle avait été prête, quelques jours plus tôt, à me donner sa virginité… Et ma relation avec ma famille ? Seraient-elles prises de regrets ? Continuerions-nous nos petites séances, ou était-ce le coup d’une fois ? Ma mère avait parlé d’une semaine, mais malgré ce que nous venions de faire, ça me paraissait toujours irréaliste. Pourrions-nous continuer à vivre normalement, que ce soit le cas ou non ? Et avais-je envie que cela continue ? Cette question-là au moins trouvait sa réponse rapidement. Malgré mes craintes, malgré ma surprise, malgré mes doutes moraux, malgré mes sentiments pour Trish, je savais que je ne voulais qu’une chose : recommencer. J’aurais pu jusque-là me camoufler sous les hormones d’un adolescent à qui on offre pour la première fois les plaisirs de la chair. Mais après deux orgasmes, même le Diable qui dit-on n’aime rien de plus que de s’inviter après le coït et faire entendre son rire, même lui ...
    ... n’arrivait pas à me faire tout regretter et à me donner l’envie que tout s’arrête. J’en étais là dans mes pensées lorsque je me rendis compte que je n’étais pas seul dans ma chambre, pas seul sur mon lit. Samantha était toujours là avec moi, magnifique et ne portant que son petit string vert bouteille qu’elle n’aura finalement jamais enlevé. Nous nous tenions par la main, chose que jusqu’alors je n’avais pas remarqué, perdu chacun dans nos pensées. Samantha a toujours été ma préférée. Physiquement, elle était celle qui correspondait le plus à mon type de femme, bien que les autres Charites fussent chacune magnifique à sa manière. Mais j’ai toujours été un homme à fesses, j’ai toujours aimé regarder le cul des filles dans la rue. Et des trois postérieurs, c’est celui de Samantha qui sortait du lot. Mais il n’y a pas que physiquement qu’elle me semblait être la plus proche des trois. Plus petits, nous jouions souvent ensemble, quand Natasha, forte de sa qualité d’aînée, nous traitait de bébés et ne supportait pas que sa sœur soit dans ses pattes ou passe son temps à la copier effrontément. Puis, au fur et à mesure que nous progressions dans l’adolescence, nous nous sommes éloignés, et, pendant que Samantha s’intégrait de plus en plus dans le groupe des Charites, je m’isolais. Mais entre nous, ces souvenirs d’enfance et du début de l’adolescence ont toujours sonné comme un paradis perdu, et cette nostalgie avait pu conduire par moments à des rapprochements, bien vite oubliés. C’est ...
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