La bénédiction (1) - Histoires de Sexe

La bénédiction (1)

... alors qu’un fait me frappa. Certes, j’avais fantasmé sur les trois Charites. Mais c’est à Samantha que je pensais le plus souvent. Peut-être ne préférais-je pas physiquement Samantha à cause de ses fesses ; peut-être étais-je devenu un homme à fesses à cause de celles de Samantha. Et cette simple supposition me submergea par une onde d’amour et d’affection envers ma cadette, qui, mieux encore que la tension sexuelle de la matinée, chassa mes doutes sur ce que nous avions fait, et sur mon désir de le faire encore. Au même moment, nous nous tournâmes l’un vers l’autre, et, tout à fait silencieusement, nous échangeâmes d’un regard la profondeur de nos pensées et de notre accord, avant de nous embrasser à nouveau. Mais, satisfaits par l’intense activité sexuelle pratiquée durant la matinée, nous ne nous embrassâmes pas d’un baiser ardent chargé de tension. Non, ce baiser était infiniment plus doux, plus doux encore que ceux que je partageais avec Trish. Doucement, tranquillement, les yeux toujours plongés dans ceux de l’autre, nos mains gentiment posées sur le dos de l’autre, nos langues se mélangeaient. Et ce baiser dura jusqu’à ce que ma mère, du rez-de-chaussée, nous appelle pour mettre la table. Toujours sans un mot, comme s’ils étaient inutiles, Samantha regagna sa chambre pour chercher de quoi se vêtir, et je fis de même dans ma propre chambre. Le repas se passa sans incident majeur. Samantha restait étonnamment silencieuse, assise à côté de moi, et ce furent Natasha et ...

... ma mère qui firent la discussion, commentant les activités du matin, rejouant en paroles les scènes, et prévoyant la suite. Il en ressortait que je m’en étais bien sorti, ayant réussi à faire jouir trois femmes à la suite, mais qu’il fallait encore que je pratique. Je soupçonnais que cette histoire d’entraînement n’était qu’un prétexte, mais je gardai mes commentaires pour moi, je n’avais pas envie que tout cela ne s’arrête. Cet après-midi, pendant que Natasha était en ville à faire je-ne-sais-quoi, ma mère et Samantha allaient me faire une surprise. Je ne voyais pas ce qui pouvait être plus surprenant que de me voir proposer d’avoir des relations sexuelles avec les membres de ma famille, mais, là encore, je gardai ça pour moi, comme à mon habitude. Mais peut-être cette surprise expliquait-elle en partie l’attitude silencieuse de Samantha, mais j’espérais que des introspections comparables aux miennes en étaient aussi la cause. Rapidement, Natasha, propre et vêtue décemment (ce qui n’était pas notre cas, je portais un quelconque tee-shirt avec le pantalon que j’avais mis ce matin, ma mère avait mis une simple robe et Samantha portait une nuisette chaude), nous quitta. Ma mère attendit que nous ayons fini de manger, puis elle nous ordonna d’aller nous laver aussi, car — je cite — nous « puions le sexe ». Ma mère a toujours été une personne directe… Samantha et moi sommes donc montés à l’étage nous préparer pour la douche. Ma mère, elle avait la sienne au rez-de-chaussée. Je ...