1. La bénédiction (1)


    Datte: 07/08/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... intelligible) : « Tu es tellement mignon quand tu es choqué ! — Je sais pas trop comment le prendre, répondis-je en souriant. — Ce que je t’ai dit ou ce que je t’ai fait ? — Les deux, je pense. » Et nous repartîmes dans un grand fou-rire, relâchant la pression encore un peu plus. « Ça faisait longtemps que j’en avais envie. Si tu n’as pas toi envie d’aller plus loin, ça ne me pose pas de problème, mais tu es la seule personne avec qui je me suis vraiment attachée depuis que je suis ici. On peut soit tenter l’aventure, soit fortifier notre relation en tant qu’amis, mais ce serait la première fois que je me fais friendzoner, j’ai plutôt l’habitude d’être de l’autre côté du sourire gêné », dit-elle avant de rire à nouveau. La façon qu’elle avait de tout dédramatiser par des sourires et des rires m’était très précieuse à ce moment-là. Je lui répondis, après un moment passé en silence à réfléchir, et lentement, pensant bien chacun de mes mots : « Tu mérites que je sois sincère avec toi. Je t’aime beaucoup, et je sens bien qu’il y a quelque chose de particulier entre nous. Mais je n’avais jusqu’à maintenant tout simplement jamais pensé qu’on pourrait aller plus loin. C’est nouveau et un peu déroutant. Mais je crois, non, je suis sûr, que j’ai très envie “d’aller plus loin”. C’est juste que… je ne sais pas comment faire, c’est si soudain… — Commençons par reprendre ce que nous avions commencé ? — Critiquer la prof d’anglais ? » Elle se mit à rire et me donna une petite claque ...
    ... derrière la tête, puis appuya sur elle afin de coller mon visage au sien. Et nous recommençâmes à nous embrasser, d’abord timidement, puis, pour la première fois de ma vie, ma langue visita une bouche qui n’était pas la mienne. Notre relation évolua naturellement et facilement. Tellement facilement que je n’avais pas l’impression de ne la connaître que depuis quelques semaines. Les vacances de Noël arrivèrent, les cours reprirent, mes notes restaient bonnes, je ne délaissais pas mes amis ni mon équipe. Pour la première fois durant ces vacances de Noël, je ramenais une petite-amie à la maison, et les Charites l’accueillirent gentiment et sans trop se moquer de moi, et elles semblèrent me porter plus d’attention que d’habitude, ce qui, et j’en fus le premier surpris, ne me déplut pas. Trish, elle, semblait s’entendre magnifiquement bien avec elles, et, à la fin des vacances, elles avaient même des discussions « de filles » sans moi. Notre relation continuant à évoluer naturellement, vint le Grand Soir, qui, en l’occurrence, fut un Grand Après-Midi. Même si Trish était plus assurée que moi, elle était aussi vierge que j’étais puceau, et si nous avions très envie l’un de l’autre, nous ne voulions pas trop presser les choses. C’était lors du dernier week-end avant les vacances d’hiver que tout s’accéléra. Nous savions tous deux que nous nous apprêtions à passer trois semaines sans nous voir. Le samedi suivant, Trish et ses parents allaient retourner aux États-Unis, où ils visiteraient ...
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