1. La bénédiction (1)


    Datte: 07/08/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... sa famille et chercheraient de nouveaux débouchés pour les fromages de leur entreprise ; elle y passerait donc l’intégralité des deux semaines de congés et la première semaine de cours. Elle était venue chez moi. Nous étions parfaitement seuls : les Charites étaient parties, comme elles le faisaient souvent, en ville pour faire du shopping. Couchés sur mon lit, nous nous embrassions fougueusement. Depuis quelque temps, lorsque nous le pouvions, nous nous touchions pendant nos séances d’embrassades. Je lui caressais la poitrine ou les fesses, et elle faisait de même avec moi. Nous avions jusque-là gardé nos pantalons, mais nous étions tous les deux torse nu, gémissant dans la bouche l’un de l’autre. Au comble de l’excitation, je désolidarisai mes lèvres des siennes et, sans mot dire, je lui embrassai le cou, la mordillant au passage, puis je descendis encore. J’arrivai à sa poitrine, qui devait être à peu près comme celle de Natasha, mais qui semblait plus volumineuse, puisque Trish était bien plus menue. J’adorai ce plaisir nouveau, et il était clair qu’elle aussi. J’entendais son souffle, déjà rapide, s’accélérer, et elle se mit à gémir. Mes abdominaux frottaient contre son entrejambe, et je la voyais rougir et gémir de plus en plus. M’enhardissant, je mordis très doucement son téton droit, et l’entendis entre deux souffles « oh God yes ». Déjà au bord de la rupture, je crus alors que mon pénis allait exploser. M’enhardissant encore plus, je serrai mes dents un peu plus ...
    ... fort, et je l’entendis crier. Ne sachant pas si c’était un cri de plaisir ou de douleur, ou encore un mélange des deux (je n’avais pourtant pas serré bien fort), j’arrêtai immédiatement, de peur de lui faire mal. Je l’entendis alors me dire : « Je veux te sentir en moi. » Elle se redressa, me forçant à me redresser aussi, et s’attaqua au bouton de mon jean. Elle ne parvint pas à l’ouvrir, je le fis à sa place pendant qu’elle défaisait le sien. Comme elle enlevait son pantalon, et le string rose qu’il cachait, je découvris pour la première fois la vulve de ma petite amie. Presque parfaitement rasée, elle n’avait laissé qu’une fine bande de poils blonds qui chapeautaient les grandes lèvres. Rien ne me faisait plus envie que de l’exaucer, mais je me fis un devoir de lui demander doucement : « Tu es sûre de toi ? » Pour seule réponse, elle descendit mon pantalon, que j’avais préalablement ouvert, en même temps que mon boxer, découvrant mon vit qui bandait fièrement ses 25 centimètres sous le premier regard féminin à se poser sur lui depuis que je me lavais seul. Probablement aussi excitée que je l’étais, Trish l’attrapa, et se mit à le masturber légèrement, comme pour faire connaissance. C’est là que le drame arriva. À peine avait-elle posé sa main sur mon membre turgescent et descendu et remonté une ou deux fois que je sentis que j’allais venir. Je la repoussai, tentai de bloquer l’éjaculation en serrant fort la base de mon membre, mais rien n’y fit, et je maculai mon torse en ...
«12...567...22»