Un conte de Noëlle
Datte: 13/10/2017,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
prost,
gros(ses),
amour,
Oral
conte,
mélo,
humour,
... regretterez pas, savez-vous ? Venez vous asseoir là, tout près de moi, mon petit poussin, je peux vous appeler comme ça ? Je suis un peu interdite. C’est une grosse femme qui doit bien peser un bon quintal, en peignoir de soie parme sur une chemise de nuit assortie, étendue sur un grand lit, avec deux ou trois oreillers empilés derrière sa nuque. Ses cheveux sont encore blond pâle, mais mêlés de gris, soigneusement coiffés en un élégant chignon un peu démodé. Son visage est doux, sans vulgarité ; elle n’est pas fardée. Elle a dû être très belle autrefois, et très coquette. Ainsi, elle m’observe avec un face-à-main pour ne pas avoir de lunettes sur le nez. Ses pieds sont nus et je remarque ses chevilles fines. — Comment me trouvez-vous, ma chère ? Je suis très grosse, n’est-ce pas ? Me trouvez-vous repoussante ? Savez-vous qu’il fut un temps où j’éclipsais toutes les femmes de cette ville, et au-delà ? Toujours sans voix, je me suis assise sur le bord du lit et elle a posé une main douce sur la mienne, un geste tendre, qu’une grand-mère aurait pu avoir. Et j’étais là pour lui sucer la chatte ! — Voyez-vous, le sommeil me fuit, maintenant ; je ne peux trouver un peu de repos qu’avec de puissants somnifères, qui ne me valent rien par ailleurs. Ou bien avec le secours d’une âme charitable qui me fait escalader l’échelle qui mène au septième ciel. Comprenez-vous ? J’ai acquiescé d’un battement de cils. Je ne pouvais prononcer un mot. Elle a tendu le bras vers un coffret non loin ...
... d’elle, en a tiré un petit rouleau de billets, noué d’une faveur. Je n’ai pu m’empêcher de trouver cela affecté, de regretter la simplicité et le tact de Nadine, puis, retour sur moi-même, de me dire que je connaîtrai sans doute bien pire dans le genre. J’ai fait disparaître l’argent dans mon giron, puis elle a très simplement relevé son peignoir et sa chemise de nuit sur son ventre. Sa fourrure intime n’était guère fournie, mais toujours blonde. Son ventre blanc était immense, ses cuisses énormes. Je me suis débarrassée de ma veste, j’ai posé mon sac au pied du lit, ôté mes chaussures et me suis installée entre ses cuisses. — Une autre fois, si vous revenez, accepterez-vous d’opérer toute nue, ma chère ? J’avoue qu’à mon âge, c’est un bien grand privilège que le spectacle de la beauté d’un corps comme le vôtre, dans toute sa nudité, et cette vision me propulse encore plus vite vers l’extase, comprenez-vous ? Elle avait un si beau sourire, en disant cela ! J’ai pensé "C’est si gentiment demandé…" Et je me suis entièrement déshabillée, lentement, juste à côté du lit. Je lui ai fait un vrai strip-tease plein de suavité, de langueur, j’y ai mis tout ce que je pouvais de gestuelle tendre, tout ce que je n’aurais su lui donner autrement, sous forme de caresses, et elle l’a bien interprété comme tel : — Ah, mon poussin, comme vous me faites plaisir, comme vous êtes bonne pour moi, quelle merveille ces petits seins si ronds, si mignons, avec ces petits tétons, venez que je leur fasse ...