1. Justine, Jérôme, Rex et la famille. (14)


    Datte: 08/10/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... mon nez, mais je ne pouvais que regarder et souffrir. Mes grimaces devaient l’exciter encore plus ; je l’ai vue jouir en criant. Quand son plaisir est puissant, elle crie. Et à ce moment-là, j’avais mal et j’en pleurais de plaisir. Ébouriffée mais visiblement heureuse, elle vint vers moi avec toujours le même sourire et le même regard coquin et pervers. Elle prit les pinces et commença à tirer dessus ; la douleur fut violente. Elle s’en aperçut à ma grimace et les enleva avec douceur. Je revivais... Elle passa se mains sur tout mon corps, sans doute pour tester ma température ou ma sensibilité puis, sans un mot, elle sortit de la pièce et referma la porte. Je restais ainsi pendu au plafond. Dans mon esprit, il y avait un mélange de honte et du plaisir vécu, mais avec le regret que ce soit déjà fini ; j’essayai d’imaginer de quoi serait faite la suite. La porte s’ouvrit. Elle apparut, fraîche et bien coiffée, vêtue d’un paréo et d’un string que je voyais par transparence. Elle commença à tourner la manivelle du treuil ; lorsque je touchai à nouveau le sol, mes jambes eurent un peu de mal à me porter. Elle continua à me descendre et défit les mousquetons. Enfin libre de mes mouvements, je pouvais marcher ...
    ... mais je me sentais ridicule ; elle vérifia que tout était en place – le gode et la cage – et me dit d’un ton autoritaire : — Tu mets ça. Tu gardes la cage et le gode, et tu viens sur la terrasse. Je t’attends. Fais vite ! Je mis le « ça » : la robe de soubrette et le string ; heureusement, elle avait choisi un string pour homme. Dans le grand miroir, je voyais une soubrette en robe et ballerines ; elle me dévisagea, plate comme une limande. Elle était érotique avec son tour de cou et ses bracelets de cuir noir, tournant sur elle-même. Je me trouvais assez mignonne ; j’en profitai pour m’inspecter. Le dos nu de la robe laissait apparaître quelques traînées rougeâtres ; par contre, j’avais le cul bien rouge et un peu sensible. Mais pas de quoi fouetter un chat. Je rejoignis mon Amazone de maîtresse qui, à ma vue, ouvrit de grands yeux et laissa échapper un « Waouh ! » — Tu es magnifique, ma belle esclave. Viens auprès de moi que je t’admire. wyxwnnfz — À vos ordres, Maîtresse, répondis-je humblement. Elle m’avait préparé un truc à boire. Elle me fit un signe, m’invitant à trinquer avec elle ; je saisis le verre à moitié rempli d’un liquide jaune à l’odeur piquante, le levai et le portai à mes lèvres. [À suivre] 
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