À poil !
Datte: 28/10/2020,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
forêt,
pénétratio,
humour,
policier,
aventure,
nature,
... Est-elle endormie ? Mon bras est passé autour d’elle, ma main repose sur le haut de ses seins, qu’elle masque partiellement de ses bras. Oserais-je ? Mes doigts descendent, effleurent un mamelon dressé, s’en écartent, y reviennent doucement. Geneviève se pousse davantage contre moi, écarte son bras pour dégager son buste, ses fesses se collent à mon sexe que je sens peu à peu enfler, durcir. Je me sens soulagé d’avoir gardé cette faculté, malgré le coup reçu dans les testicules. Ma main s’enhardit, entoure un des deux globes, le caresse lentement. Geneviève pousse sa tête contre la mienne, mon visage se perd dans ses cheveux, ma bouche atteint le lobe de son oreille, l’embrasse doucement. Je sens ses jambes bouger, sa cuisse se frotter à la mienne, pendant qu’elle arque le buste, tout entier offert à ma main cette fois. Je pétris les globes, l’un après l’autre, appréciant leur rondeur et leur fermeté, mes doigts titillent les mamelons, les entourent, les pincent. J’abandonne les seins, explore le ventre, palpe la douceur de la peau, sur laquelle courent quelques égratignures. Ma main court sur le corps offert, suit la courbe de la hanche, le galbe de la cuisse, remonte vers le ventre, vers la poitrine et s’y attarde, avant de redescendre sur le ventre, vers le pubis. Mes doigts atteignent la toison pubienne, descendent vers les cuisses encore serrées, reviennent sur la hanche, sur le ventre qu’ils pétrissent soigneusement, puis sur les seins aux mamelons durcis. Geneviève ...
... gémit, se renverse de plus en plus contre moi, son pied caresse ma jambe, sa main se glisse sur mon flanc, atteint la courbe de mes reins, se pose sur ma fesse et la serre. Sa jambe se hisse par-dessus la mienne, alors ma main quitte son buste, atteint le ventre, le pubis, s’aventure sur la face interne de la cuisse. La peau est chaude, presque brûlante. Je sens la main de ma compagne se presser sur ma hanche, pour mieux souder nos corps. Ses fesses se frottent sur mon sexe tendu contre ses reins. Malgré la fraîcheur de la nuit, nous commençons à transpirer sous la chemise qui recouvre le haut de nos corps. Nous ne sentons plus la douleur causée par nos multiples hématomes et écorchures, pas plus que nous ne nous formalisons de l’inconfort de notre lit de brindilles et de feuillages et de notre toit de ronces enchevêtrées. Ma main revient vers l’entrejambe de Geneviève, mes doigts se posent de part et d’autre de la fente humide, poussent sur les grandes lèvres et les font glisser l’une contre l’autre. Elle renverse son corps contre moi, imprime à son bassin de lents mouvements de va-et-vient pour accompagner mes caresses et se frotter à mon pénis tendu, tandis que je passe l’autre bras par-dessous ses épaules et que ma main atteint un sein pour le caresser. Nous maintenons ces mouvements quelques secondes, puis une de ses mains se pose sur la mienne, la presse davantage sur son sexe, et je glisse un doigt, puis deux dans la fente chaude et mouillée, cherchant le bourgeon. ...