1. Rencontre au Malmont (1)


    Datte: 31/10/2020, Catégories: Gay

    ... centimètre cube de son bon jus. « Il n’y a pas à dire, il est bel homme, il baise bien, il est endurant et a les burnes bien garnies ». — Et bien ma salope tu m’as complètement vidé. T’as un cul !... yrhyggxw Puis silence. — As-tu déjà participé à une double pénétration ? — Non… Pourquoi ? — Je suis sûr que tu es taillé pour ça… Si tu es intéressé j’ai quelques copains qui pourraient être partants. — Non merci. Ta main m’a largement suffit comme expérience. Je ne souhaite pas poursuivre dans ce type de pratique. — Dommage ; T’es une bonne pute… On se revoit au sexe shop ? — Si l’occasion se présente… Je m’y rends souvent le lundi après-midi. — Ok, alors à lundi. Il se lève et ramasse ma petite culotte et mon pantalon pour les mettre dans son sac à dos. — ça, c’est comme souvenir de toi. — Eh ! Mais je fais comment pour entrer chez moi ? — Pas de problème… Dans ton sac j’ai remarquais que tu ne manques pas de fringues. Démerdes-toi. Il se revête, prend son sac à dos et il s’en va. Au travers du feuillage je le vois remonter le monticule de pierre puis disparaitre. C’est le silence complet, juste le bruissement du feuillage balancé par un léger souffle. Puis je me mets à frissonner et fini par revenir sur terre. « Le salaud, il m’a laissé tomber comme une chaussette ». Aussi je me lève pour prendre mon sac. Je ressens une fraicheur anormale aux fesses. Je me retourne, le bloc de pierre est tout entaché. Il y a ma sueur c’est sûr, mais aussi un dépôt visqueux et légèrement ...
    ... blanchâtre. Cela me fais sourire car j’ai là l’affirmation que moi aussi j’ai pris mon pied. Mais à mon âge et dans le feu du plaisir je n’ai rien ressenti. « Bon ce n’est pas tout… Maintenant je dois rejoindre la voiture ». Je sais que dans mon sac il s’y trouve une minijupe noire, mais pas de petite culotte. Je vais donc devoir rester le cul nu jusqu’à la maison. J’enfile la minijupe et avant de sortir du coin, je m’assure qu’il n’y est personne dans les parages. Alors je pars pour la voiture. Là, cette fois, je ressemble vraiment à une pute en plein turbin. Avec une jupe qui finit à cinq centimètre au-dessous de mes fesses. Ce qui ne cache pas les attaches des portes jarretelles, ni le haut de mes bas. Enfin, je parviens à ma voiture sans mauvaise rencontre. J’ouvre la voiture puis le coffre où je range mon sac. Je souri car pour mettre le sac dans le fond du coffre j’ai dû me plier en deux et si dans l’une des voitures parquées derrière moi, il s’y trouve quelqu’un je suis sûre qu’il vient de voir mon cul complètement ouvert, une horreurs de la guerre. Par sécurité je regarde les voitures et deux sont occupées mais personne ne bouge. Je me dirige vers la portière quand mon téléphone sonne. C’est mon épouse qui me demande d’aller la chercher deux heures plus tard que prévu. Au moment où je pose la main sur la poignée, une autre me plaque les fesses. — Alors la pute… Tu prends combien pour me sucer ? He bien ! J’ai le cul qui me brûle encore mais je crois que mes deux heures de ...
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