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Arrivée du prince charmant
Datte: 17/12/2020, Catégories: fhh, extracon, extraoffre, fépilée, vacances, amour, volupté, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, BDSM / Fétichisme massage, jeu, init,
... visible. Nathalie me dit : « Mais cesse donc de l’embêter ! » À quoi Christian osa répondre, d’une parole qui était sans doute plus qu’une politesse, un cri du cœur : « Mais ça ne m’embête pas du tout ! » Malicieusement, je ne pus m’empêcher d’ajouter : « Quelqu’un qui t’a appelée Cendrillon ne peut pas être totalement insensible au charme de tes petits pieds roses. » Christian, gêné sans doute d’apprendre par cette plaisanterie que son compliment à ma femme l’autre soir avait été éventé, se taisait. Je poursuivis : « Au fond, le prince charmant prétendait vouloir remettre la chaussure au pied de Cendrillon. Mais je le soupçonne surtout (le prince, bien sûr, pas toi, Christian, je ne veux pas te mettre mal à l’aise), de fantasmer sur ses jolis pieds. Je suis sûr qu’une fois marié, il ne laissait personne d’autre que lui, pas même la camériste, déchausser sa princesse… « Bon, ce n’est pas tout, mais je vais fumer une cigarette sur le balcon, si vous permettez. Christian, ajoutai-je en faisant mine de plaisanter, si vous voulez gagner le cœur de ma tendre épouse, je vous conseille une chose : de lui masser délicatement les orteils, elle adore ça. — Tu exagères, protesta mollement Nathalie, qui semblait lutter de toute la lucidité qui lui restait contre les effets du champagne et de l’excitation. C’est notre invité, tu ne peux pas lui imposer une chose pareille. Christian, n’écoute pas mon mari : il est cinglé. Je ne sais pas ce qu’il a depuis quelques jours… » Elle tenta de ...
... retirer ses pieds, mais je les tenais fermement dans mes mains. « Mais non, osa Christian, timide et ne comprenant pas très bien ce qui lui arrivait, c’est même un honneur, enfin je veux dire, un plaisir… » Je profitai de l’occasion pour me livrer à une délicate opération de transfert : déposer les pieds joints de ma femme, ses petits pieds roses et tendres, sur les deux cuisses de Christian, qui n’en pouvait mais. Pour ne rien cacher, je fis davantage : je les déposai, comme une offrande, sur la braguette de mon hôte, ce qui ne manqua pas de le faire sursauter. Je laissai les deux timides tourtereaux dans cette situation, à la fois délicieuse, impossible et torturante, et je m’éclipsai sur le balcon, non sans garder une vue complète sur le spectacle. Les regardant, je pensais : « Est-ce étrange ! En ce moment un homme dit, avec les yeux et les mains, son désir à ma femme ; je le regarde et loin de m’en offusquer, j’en tire une trouble volupté. Et ma femme, ma pudique et vertueuse femme, qui me parle avec dégoût de l’adultère, des aguicheuses, des allumeuses, des putains, la voici qui, mine de rien, accepte de se prêter, moyennant quelques protestations d’usage, à ce jeu du désir, tout en croyant que c’est moi qui l’y force. » J’observai le singulier mouvement des pieds de Nathalie. Christian lui massait le pied gauche, nettement relevé, avec une extrême application, non sans jeter des coups d’œil significatifs sur le haut de la cuisse ainsi offert à ses regards. C’est à peine ...