L'Éden perdu
Datte: 22/10/2017,
Catégories:
fhhh,
jeunes,
copains,
vacances,
pénétratio,
confession,
nostalgie,
prememois,
... m’avait saisie, Antoine m’arracha des flots et m’entoura de mon carré-éponge et, en sculptant délicatement mes formes, me frictionna avec ardeur. Une douce chaleur parcourut mon corps, comme jamais auparavant, et obscurcit ma conscience. L’envie me prit de me blottir contre lui. Entre cette impression d’un fol bien-être et le moment où, étendue sur l’herbe, je ressentis l’étreinte d’Antoine - mon sauveur - je ne garde pas de souvenir précis. Mon corps sut mystérieusement ouvrir son jardin secret pour accueillir une lance d’amour. Trop empressé, Antoine fit rapidement son "affaire". Mentalement anesthésiée mais parfaitement apaisée, j’acceptai l’hommage de chacun. Dolente, les cuisses entrouvertes, je fis signe à Philippe d’accomplir son œuvre d’homme. Il me besogna laborieusement sans réellement éveiller mes sens encore endormis. Fut-ce la vue d’une verge fine et longue, fièrement dressée, ou le regard quémandeur d’Éric qui exprimèrent son besoin de m’honorer à son tour ? Il m’interrogea du regard pour savoir si, à lui aussi, je permis d’être admis dans ma chatte. Avec douceur, il se glissa dans mon fourreau qui accueillit, non plus une navette, mais un bel archet. Fiché en moi, il caressa mes seins, pourlécha mes aréoles, offrit à mes lèvres des baisers enfiévrés et chuchota : — Pour moi c’est la première fois, mon plaisir doit aussi être le tien ! La fantaisie mise dans sa découverte du corps de la femme, sa recherche de mon assentiment, ses rires joyeux et la ...
... délicatesse dans son exploration de mon intimité débondèrent mon sexe qui sut accompagner ses cavalcades. Nous nous offrîmes l’un l’autre un majestueux orgasme. Revenus tous deux à terre, Éric me suggéra : — Céline, sois généreuse et accorde tes faveurs à Serge et Jacques. Ni ma tête ni mon cœur ni mon sexe ne se faisaient une fête de reprendre une partie de jambes en l’air mais que pouvais-je faire d’autre sinon d’y consentir ? Tout occupé à manier son mandrin, Serge ne remarqua pas mon indifférence et, hilare, se retira de ma chounette. Jacques, le plus maigrelet et timide des cinq compagnons, était bien membré ; ses coups de boutoir résonnèrent bruyamment et me valurent des jaillissements d’un plaisir fait de douleurs indolores et d’intenses éclairs jouissifs, partagés m’a-t-il semblé. Ces passes terminées, allongée sur l’herbe, nimbée par les seuls rayons d’un soleil couchant, je me sentis rompue. J’avais été piégée par ce côté vif et immédiat de l’acte sexuel qui m’étourdit ; je flottai dans un autre monde. Survint Éric, tout souriant, qui m’aida à me remettre d’aplomb ; il toiletta mon entrejambe englué de foutre et planta un petit bouquet de pâquerettes dans mon sexe. — Ma petite offrande, déclara-t-il. Il s’étendit à mon côté, la tête contre mon sein et guida ma main sur son diablotin qui, incontinent, se raffermit. Ayant endossé une longue chemise de coton je fis quelques pas, laissant les garçons préparer le dîner. Une atmosphère de bonhomie factice camouflait la gêne des ...