1. La chatte sauvage


    Datte: 28/06/2017, Catégories: fh, jeunes, gymnastiqu, école, train, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral pénétratio,

    ... que je me remets à stimuler. Ne jamais aller vers elle, mais la laisser venir… Attiser sa curiosité en m’intéressant à tel petit détail… Ses mains redescendent et passent sous sa culotte, qu’elle laisse descendre, découvrant progressivement sa toison intime. Je ne pense pas pouvoir tenir ainsi longtemps. Comment l’étreindre sans la faire basculer, sans nous cogner contre un rebord d’étagère, sans irrémédiablement provoquer son courroux ? Elle attend. Elle passe sa langue sur ses lèvres. Elle cambre légèrement son bassin. Elle attend que je la prenne. Elle n’attend que ça. Au dernier moment, je réfrène une fois de plus mon élan et reporte toute mon attention sur mon propre sexe, devenu turgescent. D’une détente soudaine, elle l’attrape à la base de ses deux mains ; puis elle s’avance et le lèche plusieurs fois. L’instant d’après, elle me chevauche et me lèche les lèvres. Je suis assailli de sensations extraordinaires : son odeur, tout d’abord, un parfum exquis se dégageant de sa bouche, un nectar de volupté pure que je bois à sa source avec ivresse ; et puis sa peau, d’une douceur impossible, sa peau palpitante contre la mienne, dont j’entreprends d’explorer tactilement la texture et les courbes. Elle est femme, elle est chaude, elle soupire, elle s’ouvre à moi ; je sens, tout contre mon gland, son antre secret aux mille merveilles, délicieusement moite… Doucement. Tout dou-ce-ment… là… je te sens… ton ventre… ce ventre, n’est-ce pas la plus belle merveille au monde ? Tout en ...
    ... accordant mes mouvements du bassin aux siens, je lui caresse le ventre, ce ventre doux, merveilleux, que je sens bientôt prêt à m’accueillir, là, tout au fond, bientôt, là, oui mon amour… Je lui saisis les deux seins, encore emprisonnés par le soutien-gorge ; ses tétons sont durs, je les presse, elle gémit, c’est le signal ; je m’élance ! J’entre profondément en elle, un instant de pur bonheur, immédiatement suivi d’un cri strident et une intense douleur derrière les omoplates. Elle se dégage immédiatement. J’ai à peine le temps d’appréhender ce qui se passe ; elle enfile sa culotte, sur laquelle apparaît une tache rouge ; elle remet le reste de ses vêtements, et s’éclipse aussitôt. Je mets un moment à percuter. Alors, Virgina était… Putain de bordel de merde ! Je n’ai plus qu’à me rhabiller. Le contact du tissu sur mon dos écorché est atroce. Le livre, tombé depuis longtemps, gît ouvert à mes pieds ; quelques gouttes de sang l’ont taché. Je le ramasse, le renifle, l’effleure de mes doigts ; finalement, je le referme délicatement et le replace avec révérence sur son rayon. À l’avenir, cela deviendra mon rituel du vendredi après-midi : ouvrir le Jean-Jacques Dubeauchamp à la page cent soixante-deux, le poser sur mes genoux, et méditer un moment, le regard dans le vague. oooOOOooo Cette fille est une maniaque : elle les veut tous à son tableau de chasse, absolument tous. Son attitude à mon égard n’a pas tellement changé, si ce n’est qu’elle ne m’accorde même plus l’intérêt de ...
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