La chatte sauvage
Datte: 28/06/2017,
Catégories:
fh,
jeunes,
gymnastiqu,
école,
train,
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Oral
pénétratio,
... menton posé sur la paume de sa main, un petit pli de concentration au milieu du front. D’autres étudiants sont installés aux tables voisines. Je m’approche. Je n’ai rien à faire de spécial, juste passer devant elle, mine de rien. Je sais qu’elle s’en apercevra : ses sens sont en éveil en permanence. Je bouge dans un état second, dans un monde parallèle où les sons sont étouffés, les couleurs trop vives, le temps au ralenti. Je contourne l’armoire K2. Je suis hors de sa vue, dans le passage étroit. Je m’installe dans le fauteuil. Ouf, je respire. Bon, je suppose qu’au terme de cette journée, je saurai tout sur la révolution tranquille du Québec… Les heures passent. Ce recoin perdu et encaissé de la bibliothèque, sans fenêtre, est déprimant. Pas étonnant que personne n’y vienne jamais. Elle ne viendra pas. Rien que penser à elle me fait bander. Le souvenir de sa main sur mon sexe, c’est en trop : j’ai envie de me masturber comme un beau diable. Non, ce n’est pas trop l’endroit, et puis ce serait dégueulasse. J’en étais où, dans ce putain de livre ? Voilà que j’ai envie de chialer, maintenant ! Et puis merde ; je me lève pour prendre un autre livre, Jean-Jacques Dubeauchamp, encore un inconnu au bataillon. J’ai soudain le sentiment d’être observé. Dans le couloir, rien ne bouge ; je sursaute en remarquant, à un mètre au-dessus du sol, une paire d’yeux luisants. Elle se tient accroupie dans l’ombre, s’appuyant d’une main sur le rebord de l’étagère. Tandis que mon cœur galope, ...
... mon esprit se reprend : je lui lâche : — Ah, c’est toi. Tu m’as fait une de ces peurs ! Je m’empare du bouquin, et me réinstalle tranquillement dans mon fauteuil. Elle s’avance maintenant vers moi à quatre pattes. Elle n’a jamais été aussi gracieuse, aussi féline, aussi tentante. Arrivée juste devant mes pieds, elle se tourne et se prélasse, allongée sur le dos. Il m’est tout bonnement impossible de ne pas la regarder : en tortillant son bassin, elle fait lentement glisser son pantalon le long de ses cuisses ; ah, ses cuisses ! Elles sont sublimes ! Je vais les lui écarter, lui arracher sa culotte humide… Non, non, NON ! C’est justement ce qu’il faut éviter de faire ; ne pas la brusquer ; elle est une chatte, une chatte… une chatte en chaleur, certes, mais une chatte sensible, susceptible… Je la veux… Je la VEUX… OK, du calme, j’ai une idée… Oui, cela pourrait marcher ! Avec une douceur fiévreuse, de mes mains tremblantes, je défais les boutons de mon jean ; je le descends juste assez pour faire pointer mon pénis, que je tiens fièrement devant moi et commence à caresser. Cela a précisément l’effet que j’espérais : elle se redresse et me regarde avec une petite moue. D’un seul geste, elle ôte son pull et le T-shirt qu’elle portait dessous. Elle est maintenant à genoux devant moi, en sous-vêtements. Elle passe sensuellement ses mains le long de son torse. Elle est si belle que je crois mourir de désir. Je me débarrasse à mon tour de mon T-shirt, puis libère un peu plus mon pénis, ...