La chatte sauvage
Datte: 28/06/2017,
Catégories:
fh,
jeunes,
gymnastiqu,
école,
train,
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Oral
pénétratio,
... temps, mon désir se fait insoutenable. Je devine dans son reflet ce qui doit être ses seins et son pubis, fièrement tournés vers moi. Je rêve, ou elle s’avance ? Je ne la vois plus. Elle est juste derrière moi. Légères comme des papillons, ses mains pleines de mousse se posent sur mes hanches. Je ferme les yeux. Avec un délice indescriptible, je sens ses tétons exercer une faible pression contre mon dos. Sa main droite glisse lentement le long de mon aine pour saisir délicatement ma verge durcie ; sa main gauche redescend et se faufile entre mes cuisses, accueillant mes testicules dans sa coupe. S’en suit un langoureux va-et-vient de ses doigts magiques rendus onctueux par la mousse, en rythme avec de faible pressions de mes bourses ; le plaisir me transperce, féroce et savoureux, infernal dans son intensité. Son corps vient se coller étroitement au mien. Je n’en peux plus, je brûle de la saisir, de la serrer, la palper ; peut-être est-elle disposée à cela, peut-être me suffirait-il de me retourner pour la prendre, là, sans plus attendre… Elle a cessé ses mouvements. Je la sens tendue, comme en alerte. Un bruit me fait tressaillir : la porte du vestiaire, des pas qui se rapprochent. Une silhouette se profile à l’entrée de la douche. — Salut mec. J’ai oublié mon… Dis-donc, fait-il avec un sourire en coin, tu t’emmerdes pas, toi, tout seul sous la douche… Je réalise que je bande comme un mustang et que cela doit se voir à trois lieues à la ronde. Rouge de honte, je me tourne ...
... vers le mur. — Te dérange pas, je l’ai trouvé. Putain, quelqu’un m’en a piqué les trois quarts, un shampooing qui coûte la peau des fesses ! Bah, ça m’apprendra. Allez, salut !— Ciao, fais-je d’une voix rauque. Il repart aussi vite qu’il est venu. Quel con ce type, il a fait fuir Virgina ! Elle s’est mystérieusement volatilisée. Ou aurais-je rêvé ? Toujours est-il que je n’ai pas droit, ce soir-là, à une nouvelle apparition divine. oooOOOooo Le vendredi après-midi suivant, comme à son habitude, Virgina se rend à la bibliothèque de l’université pour y réviser le droit économique. Il est quinze heures quinze ; à cette heure-ci, elle devrait être assise à une table de la section nord-ouest. Or, ayant bien étudié les lieux, je sais que si on passe devant ce petit coin de lecture relativement prisé des étudiants, à droite de l’étagère numérotée K2, on trouve un mince couloir mal éclairé aboutissant, après un nouveau tournant, à un cul-de-sac où un petit fauteuil miteux ainsi qu’une lampe de lecture plutôt antique trouvent à peine leur place parmi des étagères poussiéreuses ne contenant essentiellement que des ouvrages sur la révolution tranquille du Québec dans les années soixante. Mon estomac est noué, mes intestins contractés au point de m’obliger à faire un détour par les toilettes de la bibliothèque. J’ai un trac pas possible. Pourtant, mon plan est simple à souhait, sans le moindre risque. Je la vois. Elle est ravissante : des papiers et livres ouverts étalés devant elle, le ...