La chatte sauvage
Datte: 28/06/2017,
Catégories:
fh,
jeunes,
gymnastiqu,
école,
train,
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Oral
pénétratio,
... coin de l’œil qu’elle s’est tournée vers moi. J’ai une furieuse envie de la dévorer des yeux, son minois aux traits si fins, ses lèvres pulpeuses, son petit menton en pointe, le creux que fait son cou en rejoignant ses épaules ; mais comment la regarder sans qu’elle sente la flamme de mon désir dirigée sur elle ? De frustration, je tourne rageusement mon Rubik’s cube dans tous les sens, détruisant les deux lignes adjacentes de couleur bleue que j’avais minutieusement élaborées. Elle s’est levée. Elle étire ses bras, longuement, puis son bassin et ses jambes, en s’accrochant aux barres qui courent le long des parois du tram. Elle reste un moment dans cette position, les bras levés, une jambe tendue derrière elle, sa chevelure lui recouvrant le visage. J’autorise aussitôt mes yeux à se braquer sur elle et parcourir ses formes. Ses jambes sublimes sont recouvertes de collants noirs sous une robe moulante couleur noisette qui s’arrête juste au-dessus des genoux. Je suis le tracé divin de ses cuisses et de ses fesses, la cambrure de ses hanches, son ventre parfait surmonté de seins fermes et hauts perchés, d’où s’élancent ses bras délicats. Ma respiration s’est intensifiée ; je suis pris de la folle envie d’étreindre passionnément ce corps de rêve. Elle s’ébroue, rejette ses cheveux en arrière et se tourne dans ma direction. Juste à temps, j’ai reporté mon attention sur le cube. Il me semble qu’elle me considère franchement, une main sur la hanche, comme pour m’inviter. Mes ...
... mains tremblotantes s’affairent frénétiquement. Elle s’approche un peu. Je ne céderai pas. Toujours sans un mot, avec une souplesse toute féline, elle vient s’installer sur le siège libre à côté de moi. Mon cœur bondit lorsqu’elle frotte sensuellement sa joue contre mon épaule. J’ai envie de humer ses cheveux aux senteurs pénétrantes. Au lieu de cela, je parviens à me composer. Je tourne le cube de manière nonchalante. Elle dirige vers l’objet un regard à la fois curieux et dédaigneux. Elle tend une main vers le cube ; je l’éloigne au fur et à mesure hors de sa portée, de sorte à ce qu’elle se penche sur moi, jusqu’à me frôler le visage de ses seins. Je suis en extase ; ses formes, sa chaleur, son odeur, tout m’enivre. Je me risque à lui caresser la cuisse de ma main libre. Rapide comme l’éclair, elle se saisit du cube et reprend sa place sur le siège ; elle l’examine un moment, puis le jette à terre. Elle vient à nouveau se frotter à moi de manière insistante ; c’est tout juste si elle ne se met pas à ronronner ! Sans la regarder, je lui offre une longue caresse, commençant sur le haut de la nuque et finissant vers le bas du dos ; puis je me détourne, croise les bras sur ma poitrine et regarde par la fenêtre. Elle approche son visage tout près du mien. Je sens son parfum grisant, son souffle sur ma nuque, puis ses dents aiguës sur le lobe de mon oreille. Je ferme les yeux, transi d’une brûlante immobilité. Sa main s’est faufilée sous ma chemise ; son contact me fait frissonner ...