1. La chatte sauvage


    Datte: 28/06/2017, Catégories: fh, jeunes, gymnastiqu, école, train, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral pénétratio,

    ... tout entier. Je m’immerge dans un bain de délicieuses sensations à fleur de peau. Je deviens tout toucher, tout odeurs, tandis qu’une douce chaleur enfle dans mon bas-ventre. Je réalise tout d’un coup que le tram a redémarré. Nous sommes entourés de passagers ! Heureusement, personne ne nous regarde ; ils ignorent probablement qu’ils passent à côté d’une scène unique se déroulant au dernier rang. Puis, le tram s’arrête, les portent s’ouvrent. Avec une désinvolture déconcertante, elle se lève et sort silencieusement. Moi, je reste encore longtemps assis au fond du tram, savourant mon état de volupté, captant les dernières volutes de son essence flottant dans l’air. oooOOOooo Je lève la tête, de sorte à ce que le jet de la douche me frappe directement le visage. Je fulmine. Plus de deux semaines se sont écoulées depuis l’épisode du tram, et je n’ai pas fait le moindre progrès avec Virgina. Elle hante mes nuits. Je passe mes journées à chercher la situation adéquate, sans résultats. Ce soir même, après l’entraînement, cela m’a paru être l’occasion parfaite : nous n’étions que huit, les autres ayant sans doute choisi de se rendre au festival des Vingt Verres Verts qui fait rage en ce moment au centre-ville. Comme à son habitude, elle s’est attardée plus longtemps que nécessaire pour ses étirements, et bien entendu, j’en ai fait autant, si bien que nous nous sommes retrouvés seuls dans la grande salle de gymnastique. J’ai fait mine de ne pas faire attention à elle ; et ...
    ... pourtant, après une dizaine de minutes, elle s’est tout de même rendue aux vestiaires. Et me voilà à présent seul sous la douche, extrêmement contrarié. Mais qui a dit que les chats avaient un comportement prévisible ? Je sursaute lorsque j’entends une voix féminine derrière moi : — Excuse-moi, tu n’aurais pas du shampooing à me prêter ? J’ai oublié le mien et les autres filles sont déjà parties… Je tourne la tête et cligne des yeux, incrédule, devant le spectacle qui s’offre à moi : Virgina dans toute sa splendeur, la moitié supérieure de son corps nu dépassant du mur qui sépare les douches des vestiaires. Dieu, je n’ai jamais vu un sein aussi parfait ! Elle balaie la salle du regard, s’arrêtant sur un flacon de shampooing abandonné sur le petit support d’une douche voisine, et sans hésiter, elle vient se l’approprier. — Je peux ? C’est pas à toi, ça ?— Non, non, vas-y… Elle se tient à côté de moi, impudique, ayant apparemment l’intention de prendre ici sa douche. Sa beauté fulgurante m’éblouit, me fait perdre tous mes moyens, sauf peut-être celui qui se trouve entre mes jambes, d’après la vigueur avec laquelle il s’est redressé. Je me détourne d’elle précipitamment. Maintenant face au mur, je ne vois d’elle que son reflet cruellement déformé dans le métal du robinet de douche ; autant dire, pas assez, mais je n’ose pas la regarder directement. Elle a l’air de se prélasser sous l’eau chaude, tout en se savonnant généreusement. Elle prend tout son temps, évidemment ; et pendant ce ...
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