Les lundis de Cendrillon, ou le grand théâtre du désir (4)
Datte: 06/01/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
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volupté,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
journal,
... avions tous envie, à cet instant, d’aller vers Cherifa pour l’effeuiller avec une application passionnée ! Mais la charmante petite garce n’avait pas besoin de cela. D’où tenait-elle cette aisance effrontée ? Dès le premier soir, quand elle s’était retrouvée en string et en soutien-gorge, elle nous avait soufflés par son culot. Elle ne s’était jamais cachée d’être merveilleusement à l’aise avec son corps, elle éprouvait un plaisir palpable à l’afficher. Lundi, elle s’est surpassée. Lorsqu’elle se leva, elle fit naturellement tomber ses petits carrés de soie et se retrouva nue. À la fin de la scène, nous étions retournés nous asseoir. Nous nous attendions tous que Cherifa, descendant de la table, se précipitât sur ses vêtements pour se rhabiller. Elle n’en fit rien. De toute évidence, elle avait l’intention de rester aussi longtemps que possible, toute la soirée peut-être, dans le plus simple appareil ! C’est ce que je compris lorsqu’elle vint se placer, sur le canapé-lit, entre Franck et moi-même, nue comme un papillon ! Elle passa l’un de ses bras dans le dossier du canapé, derrière moi, ce qui eut pour effet de tendre ses jeunes seins et de nous rapprocher encore ; à intervalles réguliers, elle dépliait devant nous ses jambes et ses pieds de princesse orientale. Ma propre robe, je l’ai dit, était on ne peut plus courte, et, serrée comme je l’étais contre elle, je sentais régulièrement le contact de ses jambes avec les miennes. Elle laissait parfois, comme au premier soir, ...
... son pied nu frôler mes mollets ou mes chevilles, et cela me faisait frissonner… La position assise n’était déjà pas très confortable pour moi : il fallait à tout moment que je veille à ne pas trahir ce que je cachais, ou plutôt ne cachais pas, sous ma robe ; mais à cette contrainte s’ajoutait la torture de ce contact avec la nudité de mon indécente voisine qui, je le sentais bien, commençait à produire dans mon intimité une douce et périlleuse humidité… Si seulement elle voulait bien se couvrir un peu ! « Vous n’avez donc pas froid, Cherifa ? », lui murmurai-je, plus pour me protéger que par souci de sa santé. « Si j’ai froid, Madame, je vous le dirai, et vous me réchaufferez… de vos mots, bien sûr ! » me répondit-elle avec ce large sourire devant il était décidément impossible de ne pas craquer. Comment résister à ce charme naïf, à cette séduction innocente… ? Personne ne fit de commentaire sur la nudité de la jeune fille : elle avait réussi à l’imposer comme une évidence. Quant à moi, si tout à coup elle s’était levée pour se vêtir, j’en aurais ressenti, oui, je le sais maintenant, une pointe de déception. Une autre torture m’attendait quelques instant plus tard. Je vis commencer un autre spectacle singulier. Hélène, la belle Hélène, la merveilleuse Hélène la seule des trois comédiennes qui avait le privilège de porter sur scène son vrai prénom, tant il semblait fait pour elle , était sortie de la salle de bain vêtue d’un drap qui lui couvrait la totalité du corps et ne ...