1. Les lundis de Cendrillon, ou le grand théâtre du désir (4)


    Datte: 06/01/2021, Catégories: fh, fplusag, jeunes, copains, profélève, école, volupté, noculotte, BDSM / Fétichisme Masturbation journal,

    ... tu ne l’as fait qu’une fois dans ta vie, quand ton mari t’y as quasiment forcée … Et encore, était-ce sans risque. Mais là ! Ce n’est pas que ce soit désagréable de se sentir absolument nue sous une robe légère… Après tout, il fait encore un temps d’été, cette fin de mois de septembre est délicieuse. Mais si, comme la semaine dernière, Stéphane et Franck s’avisaient de… C’est peu probable. Mais le risque, le risque infime qu’ils se doutent de quelque chose, … ce risque-là, justement, n’est-il pas un piment redoutable ? Si Frédéric était là, jamais je n’oserais mais voilà, il n’est pas là et je me trouve soudain saisie de vertige. D’ivresse. Et je décide de mettre une culotte… dans mon sac à main. 21 heures. Le sourire d’Hélène m’accueillit. C’est bête à mourir, mais j’ai eu le sentiment, en entrant dans le salon, que les regards de mes quatre jeunes gens étaient des rayons X et qu’aucun d’eux ne pouvait ignorer que, sous ma robe affriolante, je ne cachais que ma nudité. « La semaine dernière, après votre départ, Cherifa et Hélène ont appris une nouvelle scène, me dit Franck. Elles vont vous la montrer. Ensuite, nous passerons à vous. À présent, fermez les yeux ! » J’entendis pendant quelques minutes un bruit de meubles qu’on déplace. Lorsque je rouvris les yeux, le spectacle que je découvris me stupéfia. On avait installé une table au milieu de la pièce. Sur cette table, Cherifa était allongée, complètement nue ! Les yeux fermés. Son corps délié s’exposait sous nos yeux ...
    ... dans toute son insolente beauté. La bouche ouverte, j’admirai les lignes parfaites de ses jambes, la courbe gracieuse de son pied, ses orteils longs, fins et soignés, sa plante rose et sensuelle ; ses seins beaux et jeunes m’émurent profondément ; je m’attardai involontairement sur son sexe. Sa nudité n’était brisée que par une toison très fine et étroite, qui mettait encore plus en valeur le léger arrondi du pubis et laissait entrevoir les différentes nuances chromatiques de ses lèvres. On sentait le soin qu’elle avait mis dans cette ingénieuse épilation. Qui aura la sottise de croire que tous les sexes se ressemblent ? Celui de Cherifa ne ressemblait qu’à Cherifa : espiègle, distingué, engageant, souriant même… Comment osait-elle ? J’étais absorbée dans cette contemplation, lorsque je fus tirée de ma torpeur par ces paroles que la jeune fille déclama : Au fur et à mesure de la tirade de Cherifa, Stéphane plaçait sur son corps de fins carrés de soie : il commença par couvrir ses seins, puis son ventre, puis son sexe. A la fin de la tirade, le corps de Cherifa se retrouva donc partiellement recouvert de ces multiples petits mouchoirs, légers comme des pétales de rose, près de s’envoler au moindre mouvement. C’était ravissant. Franck avait réussi à faire de cette scène qui aurait pu être franchement obscène un moment raffiné et frémissant. Je commençais à sentir dans le creux de mon ventre une tension lancinante qui ne présageait rien de bon pour ma sérénité… Je crois que nous ...
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