Lettres d'une femme mariée - 3
Datte: 06/01/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
extracon,
Collègues / Travail
fsoumise,
hdomine,
jalousie,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
massage,
entreseins,
Oral
fsodo,
lettre,
confession,
... ce que je faisais là… Dès que j’ai pu trouver un endroit calme, je me suis assise sur un banc et j’ai pleuré ! Cela faisait si longtemps que je n’avais pas senti mes larmes… Pourtant à peine une heure plus tard, j’étais à mon poste à l’agence, disposée à accomplir mon travail avec le plus grand sérieux et une détermination sans faille ! Mais quand Michel m’a demandée de le rejoindre au bureau, alors que, bien sûr, je savais qu’il savait, j’ai prétexté un entretien avec des clients pour éviter de le revoir si vite. Au fond de moi, je venais d’accepter et même d’excuser ce que je venais de voir et qui, d’une certaine façon, confortait ce que je soupçonnais déjà… J’étais prête à lui pardonner et même à l’encourager à vivre librement cette relation alors que j’étais désormais dans le secret. J’acceptais finalement totalement cette nouvelle liaison, comme j’avais accepté celle qu’il avait avec sa femme. Mais je ne voulais tout de même pas le rassurer si vite… Quant à Muriel, j’ai fait le choix de venir rapidement vers elle pour lui demander de passer à mon bureau. Je n’étais en rien sa supérieure hiérarchique mais sous l’effet de cette situation nouvelle, j’avais un peu l’impression de le devenir. Dire qu’elle était mal à l’aise en rentrant, c’est encore peu dire. Lorsqu’elle vint s’asseoir, elle semblait désemparée, et le simple bruit sourd que fit le fauteuil lorsque ses jolies fesses vinrent s’y poser, suffit à provoquer un léger rosissement sur ses si jolies joues. Il lui ...
... était pénible visiblement, d’avoir ainsi à se montrer à moi en me faisant face en pleine lumière, et son regard semblait chercher comme un soutien en fixant le plumier de mon bureau. Cette situation était inédite pour moi. Je l’avais face à moi, selon ma demande et elle ne pouvait se dérober physiquement, alors que je savais que c’était ce qu’elle désirait le plus au monde ! Il y eu un moment de silence, où je me mis à la scruter, et je fis immédiatement le rapprochement avec « l’inspection visuelle » que j’avais dû subir la première fois de la part de notre patron. J’avais l’impression de la redécouvrir encore. Bien sûr, dès le premier jour, j’avais perçu combien elle était jolie et même ravissante. Toujours coquettement habillée et maquillée d’une façon à la fois soignée et discrète, le petit chignon qui était sa coiffure la plus habituelle, en plaquant ses cheveux blonds le long de ses tempes, lui aurait donné un air sévère, sans l’extrême douceur des traits de son visage. Sa peau claire était parsemée de quelques taches de rousseurs et d’un petit grain de beauté sur le coin des lèvres qui ravivait l’éclat lumineux de sa peau. Ses beaux yeux verts qu’elle osait maintenant timidement lever vers moi, comme si elle se sentait peu à peu le courage de me regarder, eux-aussi exprimaient cette même sensation de douceur. On aurait pu la soupçonner de candeur, sans la détermination un peu fière avec laquelle elle soutenait en d’autres occasions le regard des clients. Jusqu’ici, elle ...