Lettres d'une femme mariée - 3
Datte: 06/01/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
extracon,
Collègues / Travail
fsoumise,
hdomine,
jalousie,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
massage,
entreseins,
Oral
fsodo,
lettre,
confession,
... travailler en agence… Lorsqu’il m’a reçue dans son bureau, les choses ont curieusement changé. Sans savoir vraiment pourquoi, et j’avoue que je ne le sais pas même aujourd’hui, j’ai eu immédiatement envie d’être embauchée par lui. C’est curieux parce qu’il ne correspond en rien à ce qui me séduit naturellement chez un homme ! On pourrait même dire qu’il est l’opposé des garçons qui jusqu’ici m’attiraient… mais j’avais un désir physique de rester près de lui et de répondre à ses volontés ! Ce qui est également curieux, c’est que lorsque j’y pense et que je ne suis pas avec lui, je me dis que je n’ai vraiment rien à faire ici, à vouloir absolument contenter un homme qui pourrait être mon père et pour qui je ne suis qu’une relation parmi d’autres, et plutôt moins importante que d’autres ! On ne peut pas dire que ce « parmi d’autres » m’était agréable à entendre. J’espérais au moins qu’elle me compte dans celles qui étaient plus importantes que la sienne… — Il ne faut pourtant pas te tromper sur la nature du début de cette liaison. J’aimais être son employée et cela n’allait pas plus loin que la relation d’estime et de soumission que l’on doit à son boss. En même temps ma volonté de le satisfaire et mon caractère plutôt perfectionniste faisaient que, sans m’en rendre compte, je passais de plus en plus de temps à mon travail, et même en dehors des heures nécessaires ! Je voulais tellement lui offrir l’image d’une employée modèle, lui montrer que j’étais disposée à tous les ...
... sacrifices… C’est ce qui a fini par détruire la relation que j’avais alors avec un garçon de mon âge. Je me rendais bien compte que je me coupais de la vraie vie, mais rien ne me faisait plus plaisir que les rares signes d’encouragement qu’il pouvait m’apporter quelquefois. En parlant ainsi, elle semblait avoir perdu toute retenue. J’avais l’impression qu’elle pourrait parler ainsi des heures. Je ne reconnaissais plus en elle cette jeune femme passionnée qui dévoilait ses pensées avec impudeur, la calme hôtesse de l’agence de voyage rigoureuse et professionnelle qui intimidait un peu par sa raideur, autant qu’elle séduisait. Elle paraissait désormais devant moi sans fard, comme une femme en détresse. Et cette détresse n’était pas éloignée de celle que j’avais connue ces derniers jours. En me parlant d’elle, j’avais l’impression souvent qu’elle parlait de moi. Bien sûr, notre destin n’était pas comparable, mais nous partagions cette même fascination inexpliquée, cette même volonté de dépendance aveugle, cette capacité à sacrifier une part importante de notre liberté pour le satisfaire ! — Je ne sais pas ce qui a fait que notre relation a basculé. Ce qui a fait que je suis brusquement devenue sa maîtresse !… Finalement, sans sincèrement y avoir pensé, car je n’avais vraiment pas fantasmé sur lui avant que cela n’arrive, je me suis logiquement pliée à ses autres exigences de plus en plus particulières… C’était la continuation normale sans doute, de ma volonté de le combler et d’être ...