1. Lettres d'une femme mariée - 3


    Datte: 06/01/2021, Catégories: fh, hplusag, jeunes, extracon, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme massage, entreseins, Oral fsodo, lettre, confession,

    ... comblée par sa seule reconnaissance. Je pensais que son récit à ce moment pourrait s’interrompre sous l’effet de sa pudeur… mais je me trompais ! — Un jour que nous travaillions à son bureau, après qu’il m’ait félicitée de la qualité d’un dossier que je venais de lui fournir, il m’a remerciée de lui apporter tant de satisfactions. Il m’a alors curieusement demandée jusqu’où j’étais prête à aller pour lui faire plaisir. Je peux difficilement décrire l’expression que j’ai dû avoir à ce moment là… Finalement, l’étonnement passé, je me suis mise à lui sourire parce que je me sentais flattée, sans trop savoir pourquoi, qu’il puisse seulement penser que je pouvais encore le contenter. En même temps je sentis la chaleur monter à mon visage. Je ne réalisai qu’à cet instant la vraie nature du plaisir qu’il pouvait me demander ! Et j’étais à la fois paniquée et envieuse qu’il exprime quelque chose dont j’avais honte… Je me sentais d’une fébrilité incroyable ! J’avais l’impression d’avoir rétréci dans mon siège et j’étais suspendue à ses lèvres en réalisant déjà que je ne pourrais me dérober !… Mais il n’a pas dit un mot ! Il s’est seulement levé et a fait pivoter d’un geste assuré mon siège qui se trouvait maintenant tourné vers la porte. Il s’est alors avancé et je me voyais là, déjà humiliée par une attente vaine et folle, me laissant plantée seule dans son bureau alors qu’il irait, comme si de rien n’était, vaquer à ses occupations en sortant de la pièce !… Finalement il est ...
    ... resté tout près, debout face à moi… et, toujours sans un mot, il a défait sa braguette dont il a extrait son sexe bandé ! Elle fit une brève pause, comme pour rassembler ses idées tant elle semblait, plus que jamais, gagnée par l’émotion ! Mais elle ne me regardait plus, elle était ailleurs, comme si elle revivait les scènes qu’elle m’évoquait sans aucune retenue. — J’ai fait ça sans trop y penser, parce que c’était normal… Il me demandait de lui faire plaisir et j’avais envie de lui faire plaisir !… Je ne peux pas dire que j’ai eu un jour un réel désir sexuel pour lui. C’est plutôt le désir de le combler, de le satisfaire, qui a fait que je me suis donnée à lui. Quand j’avais sa queue dans ma bouche, dont j’appréciais finalement l’aigreur pour la première fois, j’étais simplement contente d’entendre bientôt ses soupirs. Même si cela peut paraître absurde, c’était toujours dans l’objectif surtout d’être son employée modèle ! Et lorsque j’ai avalé son sperme, contrairement à ce que j’avais connu avec mon copain, c’était sans gourmandise particulière, seulement satisfaite et même comblée d’être allée jusqu’au bout du travail accompli… Bien vite d’ailleurs, sans doute conscient que la motivation de nos relations sexuelles bientôt régulières n’étaient pas de même nature, et peut-être aussi parce qu’il y avait un tel décalage d’âge entre nous (Il me parlait souvent de la jeunesse de mon corps, de la « fermeté arrogante » de mon « petit cul » ou de mes seins !), il se sentit dans ...