Lettres d'une femme mariée - 3
Datte: 06/01/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
extracon,
Collègues / Travail
fsoumise,
hdomine,
jalousie,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
massage,
entreseins,
Oral
fsodo,
lettre,
confession,
... l’obligation de me faire des petits cadeaux… Au début, c’était surtout des présents et puis avec le temps, cela a pris surtout la forme de billets qu’il posait au coin de son bureau et qui devenaient comme un signal pour moi à devoir le contenter ! À partir de ce moment, il s’est mis souvent à m’appeler sa petite courtisane. C’est ce que j’étais finalement et ce que je suis restée pour lui, rien qu’une petite pute, prête à faire ça pour de l’argent ! Après avoir perçu les similitudes dans nos relations parallèles avec Michel qui me rapprochaient d’elle… je réalisai maintenant tout ce qui nous différenciait. Je n’étais en rien cette jeune femme si fraîche qui avait l’âge d’être sa fille ! Je n’avais guère reçu de sa part de gratifications matérielles… et puis j’étais dévorée par le désir sexuel, ce qui me liait doublement à lui !… Et puis il y a toi ! Encore une fois, ta seule existence, curieusement, provoque un lien plus fort avec mon amant. Au lien charnel, vient s’ajouter ce lien passionnel que seul connaît l’interdit et la saveur du danger d’être un jour découverts ! Un instant je n’ai pu réfréner un sentiment de jalousie à l’égard de cette jeune femme qui avait le don d’une jeunesse… que je ne pourrais jamais rattraper. Je voyais finalement en elle, sous ses dehors si respectueux, la présence d’une jolie petite catin qui masquait son désir vénal derrière l’apparence d’une travailleuse sérieuse et appliquée… et puis j’ai rapidement chassé ces idées. J’étais à la fois ...
... consciente de mon injustice, car j’avais toutes les raisons de la croire décidément sincère, et de ma trahison puisque je prétendais ne pas avoir à la juger !… Pendant ce temps, elle continuait : — J’ai pratiqué avec lui bien des positions que je ne connaissais pas avant ; satisfait des fantasmes que je ne soupçonnais pas pouvoir exister, mais je peux te jurer que je n’y ai pris aucun véritable plaisir ! Pourtant ce plaisir, je sais être capable de le connaître, mais depuis que je suis sa maîtresse, je me suis coupée de la jouissance sexuelle… et finalement cela ne me manque pas. Je l’écoutais avec un peu moins d’attention parce que j’étais moins concernée… et puis je pensais à une autre différence entre nous… — Depuis quand vous vous tutoyez ?— C’est venu très vite. Dès que nous avons baisé ! Je lui en voulais un peu de cette soudaine familiarité, mais j’avais aussi prétendu être son amie… — Dans son bureau… dès que nous sortons du cadre du travail… c’est pour nous tutoyer… mais dès que nous nous rajustons après avoir fait l’amour, nous nous vouvoyons « innocemment » comme le font souvent une employée et son patron… et cela nous amuse beaucoup ! C’est avec un plaisir certain que j’ai écouté la suite. — Tu sais, il me parle souvent de toi. Il est très fier d’être ton amant. Il m’a dit qu’il était vraiment attaché à toi, et qu’il ne pouvait pas imaginer que je lui demande de rompre… De toute façon, je n’en avais aucune intention. Je sais que tu lui procures des satisfactions que ...