1. Et j'entends siffler le train...


    Datte: 22/01/2021, Catégories: train, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation

    ... la gagnait, elle simulait. Il jouissait et c’était tout. Il n’était pas méchant mais il n’avait pas compris. Une femme s’aime avec le cœur et la bouche, pas le sexe et la tête. Michel n’avait pas encore goûté son sexe, mais le souvenir seul de son baiser était à manipuler avec précaution si elle souhaitait garder sa culotte propre jusqu’au soir… Arrivé à la voiture où se trouvait sa place, Michel remercia les dieux. C’était des compartiments et pas une grande salle. Avec un peu de chance ils seraient seuls car, en première (voyage professionnel oblige), il n’y avait que quatre sièges par compartiment et que ce n’était pas une heure de grande affluence pour les hommes d’affaires. Il songea bien à chercher le contrôleur pour surclasser le billet de seconde de Julie, mais d’autres pensées prirent rapidement toute la place. Le cheminement derrière sa bien-aimée dans le couloir étroit était un plaisir. Il ne pouvait détacher ses yeux de ce cul tellement présent. Ils durent dépasser les voyageurs qui avaient louché sur le bustier rose et son contenu jusqu’à ce qu’il les bouscule rudement avec les deux bagages. Arrivée dans le compartiment, Julie s’était approchée de la fenêtre. Michel avait jeté les valises et s’était plaqué contre elle. Son sexe tendu se frottait contre ses fesses. — Un peu de patience, dit-elle, impertinente Plus que trois heures et nous serons à Paris— Tu crois que tu résisteras jusque-là ?— Moi… sans problème ! mentit-elle. D’un œil elle regarda si la porte ...
    ... avait un loquet. Elle voulait le toucher, l’embrasser. Déjà, il lui embrassait la nuque. Des frissons lui parcouraient l’échine. Elle voulait se retourner mais aimait aussi appuyer ses fesses contre ce désir raide et brut. — Regarde sur le quai, ce n’était pas un des hommes qui te lorgnaient ? Julie ouvrit les yeux et reconnut le quinquagénaire qui avait failli l’aborder. Apparemment il ne prenait pas ce train et le regrettait déjà. Il avait vraiment belle allure. Cheveux grisonnants, grand, les yeux doux, costume impeccable. Il les regardait avec un œil attentif comme s’il entendait ce qu’ils disaient de lui. — Oui, on dirait ! répondit-elle.— On dirait qu’il ne montera pas.— Dommage ! Il était charmant, on dirait Richard Gere, et encore plus vieux que vous…— Salope…— C’est vous que ça excite…— Pas que moi, tu le sais… Fais-lui au revoir de la main… Julie regarda son amant. Il était sérieux. Pourquoi pas ? Ils étaient à quelques minutes du départ. Troublée, elle leva la main et voulut crâner un peu. — Vous avez raison. Le pauvre ! Je vais lui envoyer un baiser… Ce qu’elle fit. L’homme réagit en s’approchant à une dizaine de mètres. — C’est un peu trivial, je trouve. Tu pourrais faire mieux. Michel posa un baiser dans son cou, sur son épaule, et fit glisser une bretelle. Elle comprit immédiatement ce qu’il avait en tête. Une fois de plus, sa manière de l’amener lui avait déjà mis le ventre en feu. Elle n’aurait pas particulièrement pensé faire ça, mais, excitée comme elle ...