Le G, le ripou et les belles nanas (3e partie)
Datte: 22/02/2021,
Catégories:
fh,
ffh,
Oral
fsodo,
policier,
... connerie. Il a plombé un mec et a voulu me faire porter le chapeau.— Les flics sont venus chez toi ?— Ouais, c’était bien organisé, son plan. Heureusement que j’ai mis les bouts avant qu’ils sonnent à ma porte. Rita glissa un regard vers ma beurette cinglée. — Et toi, t’as perdu ta langue ? Warda haussa les épaules. — J’ai rien à dire de spécial. Moi, je l’accompagne et je profite de sa queue. À ces mots, les yeux de Rita s’illuminèrent. — Ah, ouais, sa queue… Elle reporta son regard vers moi. — Il rentre à quelle heure, ta raclure ?— Huit heures, me répondit-elle. J’ai le temps de prendre une douche, non ?— Heu, je suppose. Tarde pas trop non plus. T’es mon alibi, fis-je. Tu vas témoigner pour moi, ma belle.— Moi, foutre les pieds au commissariat ? Elle haussa les sourcils. — L’idée ne me plait pas, mais si c’est pour toi… Mais d’abord, tu me laisseras castrer cette petite salope de flic, ok ? Je rigolai en sourdine. Les nanas de nos jours sont incroyables. Canons comme des déesses avec des caractères de gladiateurs. Mais ça me plaisait. Ma queue durcissait de nouveau, mais je devais garder les idées claires. — Bon, je vais sous la douche d’abord, et ensuite, on avisera. Tu viens ? Elle me demanda ça de but en blanc, à moitié à poil avec ses fringues propres dans la main, et ses cheveux bruns bouclés, sa gueule d’ange et ses longues jambes… — Très tentant, mais plus tard. Rita eut une petite moue déçue, puis se tourna vers Warda. — Toi, ça te dit ? Warda sursauta et se ...
... leva, nerveuse. — Mais je suis pas bi, moi ! Rita tourna les talons : — Eh bah allez vous faire foutre ! Le temps que la sanguine hispanique prenne une douche libératrice, Warda et moi patientions dans sa chambre. Je tentai d’imaginer la suite des événements : son mec allait rentrer et tomber sur nous, et ensuite, je le forcerai à avouer. Un plan con mais j’avais que ça en tête. De toutes façons, il s’attendait sûrement pas à ce que je soit chez lui. Il avait pas prévu que mon pote Cali me fournirait son adresse. Une belle pièce rouillée dans son plan. — J’ai jamais essayé de baiser avec une fille. La voix de Warda me tira de mes pensées. — Ah bon ? Bah je sais pas trop quoi te dire, c’est une question de feeling, je pense… Qu’est-ce que je pouvais lui répondre ? — Elle m’a excitée, ta conne de copine ! Warda poussa un soupir et s’allongea sur le lit, commençant à dégrafer son jean. — Non mais vraiment, fis-je… T’as qu’à aller la rejoindre ! Sans m’écouter, elle fit glisser son jean et sa culotte le long de ses hanches et porta ses doigts à son sexe. C’était vraiment du délire. Parfois, je vivais vraiment dans un monde incroyable. Mais j’aimais ma vie plus que tout, et pour rien au monde je n’en aurais changé. — Viens jouer avec ma chatte. Doigte-moi. Je m’approchai d’elle, me baissai pour embrasser son nombril et lui caresser le creux des cuisses. — T’es dingue, lui dis-je. Cette nana était une vraie accro au cul, mais allais-je vraiment m’en plaindre ? Quel mec ne rêverait pas ...