Le G, le ripou et les belles nanas (3e partie)
Datte: 22/02/2021,
Catégories:
fh,
ffh,
Oral
fsodo,
policier,
... de tomber sur elle ? Pis après tout, fallait bien passer le temps. J’écartai ses lèvres de deux doigts et pointai ma langue pour goûter chaque repli humide de son intimité, suçant ici, tétant là, passant ma langue partout où je pouvais, aspirant sa cyprine. Elle gémissait, les yeux clos, se caressant les seins. — Hmm… Je relevai la tête. — Tu voudrais pas faire un plan à trois avec Rita ? tentai-je.— Hmm… À voir… J’enfonçai mon majeur dans son vagin, la faisant doucement crier avant de prendre son clito entre mes lèvres et le téter délicatement. Elle se cambra, toute vibrante d’extase. — Oui ! Oh ! C’était presque dans la poche, lorsque nous entendîmes la porte d’entrée s’ouvrir en claquant. Et aussitôt après : — Je vais l’avoir, ce fils de pute ! Je me redressai aussitôt et Warda fit de même, frustrée car à deux doigts de jouir. Elle se renfroqua en vitesse et se leva d’un bond. Nous nous plaquâmes contre la porte de la chambre, l’oreille tendue. Ce connard venait de rentrer. Le sang me monta à la tête en songeant à mes grosses mains en train de broyer le crâne de ce fumier. De lui éclater les burnes. Je guettai le bruit de l’eau dans la salle de bains, mais n’entendis rien. Rita l’avait-elle entendu rentrer ? La première chose que je l’imaginai faire, ce con, c’était foncer dans la chambre passer ses nerfs sur elle. Et c’est-ce qu’il fit, exactement. Sa démarche décidée nous parvint. Il était dans le couloir et je devinai sa présence derrière la porte. Enfin, la ...
... vengeance. Derrière moi, ses seins pressés contre mon dos, Warda était en sueur. L’odeur qu’elle dégageait m’excitait. Une fois cette histoire finie, je la baiserai jusqu’à l’os, et Rita avec. Les deux en même temps. Je balançai la porte de toutes mes forces contre lui au moment même où il passait le seuil. Il poussa un cri et un violent bruit retentit lorsqu’il se mangea la porte dans la gueule. Un son très agréable. *** Je surgis de derrière la porte. Sonné, il titubait dans le salon, une main à la tempe. Sans lui laisser le temps de comprendre, j’enchaînai. — Bonjour enculé ! Remis de ta course poursuite ? T’a visité le chantier ? Il releva la tête juste au moment où mon poing l’atteignait en plein menton ; il s’envola littéralement et s’effondra sur le canapé. Je fondis sur lui. C’était un mec brun d’une trentaine d’années. Tout ce qu’il y avait de plus ordinaire. Qu’est-ce que Rita foutait avec ce gugusse ? Les femmes, je ne les comprendrais vraiment jamais. Je m’abattis sur lui et l’écrasai de tout mon poids. Il poussa un cri et passa les mains dans son dos, à la recherche de son arme, mais je fus plus rapide que lui. Je m’en emparai et la lui braquai sur le nez. — Du calme ! La ferme ! Je relâchai mon poids et me levai, reculant avec prudence. — Warda, tu peux sortir, fis-je sans tourner la tête. Je reculai encore un peu, mettant la table basse entre nous, et m’assis sur le fauteuil en face de lui. — Alors petite pourriture, ça te la coupe hein ? De me trouver chez toi. Il ne ...