Le G, le ripou et les belles nanas (3e partie)
Datte: 22/02/2021,
Catégories:
fh,
ffh,
Oral
fsodo,
policier,
... répondit pas, se contentant de me fixer avec colère. Il se demandait visiblement comment j’avais fait. Petit con. Je pointai son arme contre lui. — Si jamais tu fais un geste de travers, je t’éclate le genou. Tu vas répondre à mes questions. Warda me déposa une main sur l’épaule et fit le tour du fauteuil pour venir s’asseoir sur mes genoux. Elle choisissait vraiment bien son moment, celle-là. — Et si je veux pas ?— Bah, je pense que tu te mettras à table assez vite, alors ça m’évitera de devoir te priver d’un genou ou d’une couille. Le doute était installé dans son regard, il fallait vite que je l’enlève, avant qu’il ne prenne trop confiance. — T’oseras pas. Qu’est-ce que je disais ? Je redressai l’arme d’un air menaçant et il se rétracta dans son fauteuil. — Tu sais que je peux te coller une prune dans le genou. Tu le sais. Je ferai passer ça pour de la légitime défense. C’est toi qui m’as piégé, pas l’inverse.— Mais t’es chez moi, trou du cul ! me répondit-il.— Rita m’a appelé, fis-je. C’était faux, mais qu’est-ce qu’il en savait ? — C’est des conneries ! Elle était attachée !— Mais suffisamment habile pour se détacher et m’appeler moi, parce que j’étais le seul qui vivait assez proche pour venir l’aider avant ton retour. Bon, c’était faiblard, mais ça avait l’air de le convaincre. Ce que j’espérais maintenant, c’était que Rita reste dans la salle de bains et ne se précipite pas sur lui pour lui broyer les noix. — Pourquoi moi ? demandai-je.— Parce qu’il me fallait un con ...
... dans ton genre, une saloperie de racaille pour endosser ça. T’es juste tombé là au mauvais moment. Mais comment une pourriture pareille avait fait pour devenir flic, et le rester ? Bah, y a des choses qui ne s’expliquent pas. Alors autant ne pas chercher. — C’était qui ce type, que t’as descendu ?— Peu importe, un pourri, que personne ne viendra pleurer. Là, je commençai à sérieusement avoir envie d’appuyer sur la gâchette. C’est alors que la porte de la salle de bains s’ouvrit. On tourna tous la tête vers elle, et Rita en sortit, nue, hurlant, une paire de ciseau dans la main, et sauta littéralement sur son ex petit copain. — Rita, non ! glapis-je. Mais elle était déjà vautrée sur lui, cherchant sa gorge. Lui, très surpris, essayait en vain de la repousser. Si elle le blessait, c’était foutu. Je me levai d’un bond, envoyant Warda par terre, et rejoignis le couple qui se battait. Rita criait comme une folle, l’insultait de tout les noms. Il tenta de la repousser et ce fut à ce moment précis que la porte d’entrée s’ouvrit soudain à la volée. Et qu’une horde de flics surgirent. Et merde ! — Police ! Je lâchai instinctivement mon arme, et me jetai par terre, mains sur la tête. Warda était restée au sol et avait fait de même. Rita, poussée en avant par sa colère, semblait ne pas les avoir entendu. — Rita, couche-toi ! lançai-je. Le flic tenta de se redresser mais n’y parvint pas ; notre furie hispanique était accrochée à lui et lui labourait le visage de ses ongles. Pauvre vieux, ...