L'histoire de Rebecca Reisenbach
Datte: 22/02/2021,
Catégories:
fh,
jeunes,
hotel,
entreseins,
Oral
nopéné,
nostalgie,
regrets,
... poitrine incroyable ! Quelle chance ! Refais-nous voir ! Rebecca hésita. Elle regarda Armelle droit dans les yeux. Elle rouvrit sa serviette avec délicatesse. Je me demandai si c’était par défi ou par docilité. – Je peux toucher ? Armelle n’attendit pas la réponse. – Ils sont lourds ! Je reconnaissais bien là l’intrépide Armelle. À l’âge que nous avions, certains ou certaines ont une expérience sexuelle déjà considérable, et d’autres n’en ont aucune, comme Rebecca, comme moi. C’est encore ma meilleure explication à cette scène. – Qu’est-ce que ça fait ? C’est toujours toi que les garçons regardent. – Pas pour mes seins en tout cas ! Et de soulever son t-shirt pour les exhiber, tout petits. Elles rirent toutes, sauf Rebecca qui esquissa un sourire embarrassé. – Je les comprends pas. Je vais pas leur montrer mes seins… – Cherche pas. Ils sont tous bêtes. D’après Brunehilde, Armelle toucha un sein une dernière fois, puis s’éloigna. Elles prirent leur douche, s’habillèrent et personne n’en reparla jamais, à sa connaissance. – Il y a des jours où… tu sais, je suis même plus tout à fait sûre de ce que j’ai vu. C’est bizarre, hein ? Enfin, je sais que j’ai vu deux paires de seins. Je te dis qu’Armelle a touché ceux de Rebecca, mais je sais plus comment. Je pense que si on demandait aux autres de raconter la scène, les détails ne seraient pas pareils. Tu vois un peu ? C’est embrouillé. Je vois qu’elle provoque mon imagination. J’ai toutes les peines du monde à rester coi. Elle va ...
... fatalement regarder mon entrejambe. Je me demande si je dois m’en inquiéter. Qu’importe ! il faut trouver une répartie… Je cherche encore quand Brunehilde se lève de sa chaise et s’agenouille sur le tapis au pied du canapé. Elle passe la main sur moi. Sans m’adresser un regard, elle déboutonne mon pantalon. Puis écarte mon slip. Elle se saisit de ma hampe et me sourit à pleines dents. Je souris aussi, gêné. Elle est tendre. Elle l’est toujours quand elle glisse mon sexe dans sa bouche. Je sens qu’elle a de la fièvre. Mais avec les minutes, de moins en moins. Elle fait une pause, se dégrafe le chemisier, et fait glisser son soutien-gorge non loin. Toujours sans rien dire, elle introduit mon pénis entre ses seins. Sa peau est brûlante. Elle s’interrompt en se touchant le front. – J’ai très mal à la tête. Faut que je m’allonge. Elle se relève et, après avoir plongé l’appartement dans le noir, m’emmène dans sa chambre par la main. Elle se couche en me laissant la moitié de son lit. Les yeux fermés, elle me dit, d’une voix gagnée par le sommeil : – Viens, s’il te plaît, allonge-toi. Je la rejoins et elle me saisit encore la main pour la poser sur son sein. – Dis, tu restes, hein ? On n’abandonne pas une malade. Au bout de quelques minutes, elle semble profondément endormie. Comme je n’ai pas sommeil les images défilent sur son plafond blanc. J’ai tout le temps de méditer l’ironie du destin. À tous les âges il est des expériences, des succès, des gratifications qu’on désire ardemment. ...