Découverte de la soumission
Datte: 13/03/2021,
Catégories:
h,
fplusag,
fagée,
grosseins,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
odeurs,
Masturbation
init,
vêtements,
... cuvette des WC. Je reniflai cet entrejambe, je le léchai, je le suçai pour en raviver les odeurs. Je ne pensais plus à rien d’autre : mon bonheur du moment était au fond de cette culotte, de la culotte de ma Maîtresse, de la femme de soixante-huit ans dont je devenais dès cet instant l’esclave. Mon sexe était devenu tellement raide dans ma propre culotte qu’il me faisait mal et il fallut me résoudre à le sortir et faire tomber cette excitation insupportable. Je pris donc la culotte de ma Maîtresse et, enveloppant ma verge avec tout en laissant apparaître mon gland pour ne pas la tacher, je me mis à me masturber avec une incroyable violence. Au bout de quelques allers et retours du poignet seulement je jutai abondamment dans le mouchoir que j’avais sorti de ma poche pour éviter de laisser des traces de mon passage. Je retombai par terre et restais allongé, épuisé, un bon quart d’heure…. Reprenant mes esprits, je me mis à fouiller les tiroirs de la commode où je trouvai une impressionnante collection de culottes, de soutiens-gorges, de jupons, de collants, et plus intéressant des bas et trois porte-jarretelles noir, rose et blanc. Je sortis l’un de ces porte-jarretelles, très large, d’un modèle certainement ancien, et le reniflai sans malheureusement trouver d’autres bonnes odeurs que celle du parfum déjà repéré dans le linge de ma Maîtresse. J’imaginais cependant ces jarretelles appliquées contre les grosses cuisses, douces, laiteuses, chaudes de leur propriétaire, et ...
... excité à nouveau je les léchais, je les suçais un moment. C’est à ce moment que j’eus l’idée de regarder ce qui se trouvait sur l’oreiller du lit. Bien m’en prit, car je trouvai ce que je savais être, par les revues que j’avais lues : un gode pour dame esseulé. Comme je connaissais la nature de cet objet en plastique moulé, ici d’assez petite taille, de la taille de mon propre sexe, je le portai à ma bouche pour le sucer et essayer de retrouver l’odeur de mouille qui devait être le sien la nuit précédente. Malheureusement, même s’il n’avait pas été lavé, vu quelques traces, l’odeur n’était pas aussi excitante que celle ayant imprégné l’entrejambe en coton des culottes précédemment reniflées et léchées. Mais il était temps que je parte, car je savais que l’amie de ma tante devait revenir ce jour. C’est en partant que j’aperçus assez loin sous le lit une dernière culotte souillée, comme oubliée… L’occasion était trop tentante et j’en oubliai toute prudence : je décidai de me l’approprier, de l’emmener dans mon lit pour ce soir retrouver l’odeur de ma Madame Liz… Je la glissai donc dans ma poche non sans l’avoir à nouveau reniflée et léchée au niveau de l’entrejambe taché : derniers instants délicieux et terriblement excitants dans l’univers intime de cette femme dont je sentais bien qu’elle allait occuper un moment important de ma vie d’homme en devenir. Je m’efforçai de tout remettre en place pour que mon indiscrétion de petit vicieux ne soit pas démasquée, puis je quittai son ...