Quand j'étais à vos genoux
Datte: 13/03/2021,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
frousses,
couple,
extracon,
Oral
pénétratio,
mélo,
amourdram,
... releva la tête, me regarda et m’embrassa. Je fus pris par surprise, en aucun cas je ne voulais l’embrasser. Doucement mais fermement je l’écartai de moi. — Je ne crois pas que ce soit une bonne idée.— Tu vois, toi non plus tu ne veux pas de moi. Elle se leva de rage et se dirigea vers sa chambre. — Mara, arrête ! Tu sais très bien que ce n’est pas ce que je veux dire. Elle se retourna et d’un geste brusque écarta son peignoir pour me montrer ce que je soupçonnais depuis le début : elle était nue. — Fais-moi l’amour alors, me cria-t-elle. Son corps avait vieilli bien sûr, mais il était toujours aussi magnifique. Et je ne sais toujours pas pourquoi, alors que ce genre de démonstration dans les films me fait plutôt rire, là je me suis précipité sur elle et je l’ai embrassée. Ma bouche a couru le long de son cou pour s’arrêter sur un de ses seins dont je mordillai le téton, tandis que ma main se chargeait de l’autre en le tordant vicieusement. Son râle de plaisir m’incita à continuer à la maltraiter. Mes mains continuaient leurs jeux au niveau de sa poitrine, mais ma bouche descendait plus bas. Et c’est toujours debout au milieu du salon que je redécouvris le goût de son intimité qui m’avait tant manqué. Son souffle était de plus en plus fort. N’y tenant plus, je me relevai, l’embrassai à nouveau tout en me débarrassant tant bien que mal de mon pantalon. Une fois libérée, ma verge trouva son chemin sans problème et je la pris adossée à la bibliothèque. Après de nombreux ...
... va-et-vient, je me suis perdu en elle dans un cri de jouissance. Je m’écartai et je ne sus pas si elle avait joui ou pas. Elle se dirigea vers moi le sourire aux lèvres et m’embrassa en me murmurant : — Merci. C’est là que je retrouvai mes esprits et me rendis compte de la situation. L’analyse que j’en tirai était simple : j’étais dans la merde. — Il faudra qu’on recommence. Rectification : j’étais dans la merde noire ! — Séverine comprendra.— … Elle comprendra quoi ?— Que tu la quittes pour moi. C’était pire que tout. Ni une ni deux : sur une impulsion, la même sûrement qui m’avait poussé à lui faire l’amour, je me jetai sur Mara et mes mains se resserrèrent sur sa gorge. D’abord elle ne comprit pas, mais très vite ses mains essayèrent de dégager les miennes, sans succès, l’air commençait à lui manquer, elle commença à devenir rouge, à virer au cramoisi. Puis d’un seul coup son corps tomba sans vie. ******* — Voilà, vous savez tout. Qu’est-ce qu’il va se passer maintenant ?— On va taper le procès verbal, s’il vous convient vous le signerez, et on vous mènera au parquet pour voir le juge d’instruction ; la suite sera entre ses mains.— D’accord, merci. Il y a dans ce récit les références à plusieurs chansons. Toutes sont de William Sheller. Certaines ne sont que nommées (« Un homme heureux », « Nicolas »), pour d’autres ce ne sont que des allusions (« La maison de Mara », « Les miroirs dans la boue »).Toutefois, il y a quand même une chanson qui a inspiré ce texte : « Quand j’étais à ...