Sale journée
Datte: 14/03/2021,
Catégories:
fh,
ff,
complexe,
bizarre,
Collègues / Travail
toilettes,
humilié(e),
cérébral,
massage,
facial,
Oral
fdanus,
humour,
amourdram,
... Non, ça va. C’est juste que c’est une journée de merde… et que j’en ai marre, de cette boîte.— Détends-toi. C’est vrai que les deux affreux sont bien lourds, mais le reste de l’équipe est plutôt sympa, non ?— Si tu le dis.— Enfin, moi ? J’ai toujours été gentil avec toi, non ?— Tu crois réellement que je ne resterais rien que pour toi ?— Je n’ai pas cette prétention, mais j’aimerais tout de même que tu me considères comme un élément positif, si tu devais prendre une décision. Détends-toi, ma chérie. Tout n’est pas si moche. » Tout en parlant, il avait fait le tour de mon bureau et se tenait à présent derrière ma chaise. Il posa ses mains sur mes épaules. Je lui donnai immédiatement une petite tape sur les doigts : « Bas les pattes ! Animal ! — Hola ! Tout doux, ma belle. Si tu vas mal, en tant que responsable hiérarchique, je suis habilité à te masser les épaules tout en restant professionnel, tu sais ? En plus, j’ai un diplôme international de Maître Masseur du Club des Canaris de Boulogne-sur-Mer qui m’impose de respecter la plus stricte déontologie. Et en plus, ceci n’est qu’une démonstration d’amitié sincère à l’égard d’une collaboratrice compétente et intègre de la part d’un chef de service compatissant. En clair, ça ne se refuse pas. » Le coup du diplôme aurait pu me faire sourire, mais je savais qu’il ne plaisantait pas. Il m’avait montré le dit bout de papier une fois. Tout en parlant, il commença délicatement à masser mes omoplates. Je poussai un gros soupir et ...
... m’adossai plus confortablement. Papi Alain allait être très gentil, et moi, j’étais crevée. Pendant plusieurs minutes, il fit lentement rouler les muscles et les tendons de mon cou. Ses pouces remontaient inlassablement le long de ma nuque jusqu’à la base de mon crâne, puis redescendaient masser le haut de mon dos. Je fermai les yeux. Il ne m’avait jamais habituée à tant de familiarité mais c’était paradisiaque. Je me laissai sombrer dans une sorte de demi-sommeil où tous les muscles de mon corps semblaient plongés dans un bain d’huile. Je me demande même si je ne me laissais pas entraîner dans une sorte de rêverie érotique. Je me sentais tellement fatiguée. Subrepticement, sa main droite s’était insinuée vers le devant de mon col et effleurait délicatement ma clavicule. Dans un délicieux frisson, deux de ses doigts glissèrent entre ma peau et la bretelle de mon soutien-gorge. Comme je ne réagissais pas, sa main gauche se fit plus ferme sur ma nuque, tirant ma tête en arrière ce qui m’arracha un petit gémissement de plaisir, tandis que les doigts de son autre main descendirent plus profond, pour plonger enfin sous le bonnet de dentelle qui contenait l’objet de sa convoitise. Quatorze phalanges boudinées se refermèrent sur le lobe diaphane de mon sein ; le pouce et l’index pinçant violemment le mamelon. Ce salopard avait réussi à me PELOTER ! J’écarquillai les yeux en poussant un cri de terreur et je me relevai d’un bond, le repoussant du coude. Alain recula d’un pas. Je devais ...