Sale journée
Datte: 14/03/2021,
Catégories:
fh,
ff,
complexe,
bizarre,
Collègues / Travail
toilettes,
humilié(e),
cérébral,
massage,
facial,
Oral
fdanus,
humour,
amourdram,
... être terrifiante, tremblante de la tête aux pieds, les yeux injectés de haine et les cheveux en bataille. Dans le mouvement, les deux boutons du haut de mon chemisier avaient été arrachés, dévoilant tout mon thorax. Mon sein, entraîné par la main d’Alain, avait jailli de son cocon pour pendre ostensiblement hors du soutien-gorge, légèrement de travers. Pendant une seconde, nous restâmes tous les deux immobiles face à face. Rouge de honte, il semblait sur le point d’éclater. Il devait sévèrement regretter son insolence. Comment avait-il pu trouver le courage pour faire ça ? Je lui aurais presque pardonné tellement il paraissait pitoyable, mais je devins folle de rage quand je vis son regard braqué sur mon sein nu. Il bavait presque. Je le giflais aussi fort que possible et sa tête fit un quart de tour. « Dis-moi, Monsieur le Chef du Personnel, une comparution aux Prud’hommes pour harcèlement, ça fait pas un peu TACHE, sur un CV ? » Il gardait la tête basse, et il se mit à pleurnicher. Il était visiblement terrorisé. Il bredouilla quelque chose d’à peine audible : « Je… je suis désolé. S’il te plaît, ne le dis à personne. Je suis tellement désolé. Je ne sais pas ce qui m’a pris. Par pitié, n’en parle pas à ma femme. Je ferai tout ce que tu voudras. — Mais je n’attends RIEN DE TOI, Alain. Seulement que tu me FOUTES LA PAIX et que tu respectes mon travail ! C’est tout !— Mais je pourrais faire beaucoup plus. Tu pourrais me prendre à ton service. Je te servirais avec ...
... dévouement.— ?— Je serais entièrement dévoué à ton plaisir. Tu pourras me forcer à accomplir des tâches humiliantes.— Par exemple ?— Comme faire la vaisselle en string, ou laver tes petites culottes, ou …— COMMENT ÇA, HUMILIANT, LAVER MES PETITES CULOTTES !?— Oui, renchérit-il, un sourire plein d’espoir illuminant ses lèvres. Tu pourras faire de moi ce que tu voudras. Je serai ton esclave. Et je n’aurai pas le droit de te toucher. » Exactement ce dont j’avais besoin ! Une couille molle ! L’idée d’avoir le gros Alain comme esclave sexuel m’aurait presque fait hurler de rire si je n’avais pas été dans une colère noire. Je décidai de tirer profit de la situation : « D’accord sur ce dernier point : tu n’auras pas le droit de me toucher. Maintenant, je vais te donner l’ordre de me laisser prendre mon après-midi. Si tu es obéissant, alors je ne dirai rien. C’est compris ? — Oui.— Oui qui ?— Oui, Maîtresse.— Alors, c’est bien. Va, je ne te hais point. » J’attrapai à la volée ma veste et mon sac et je sortis en claquant la porte. J’aurais dû en profiter pour lui arracher les couilles. D’abord un bon coup de genou bien senti, pour anesthésier, puis une séance S.M. comme il aurait aimé, avec lames de rasoir à la clef. Comment saigner un gros goret ! Et hop, un de moins ! Je retrouvai ma voiture au parking et je démarrai en trombe. Dans ces cas-là, il n’y a que trois solutions : A- Tuer quelqu’un. B- Manger du chocolat. C- Acheter des fringues. C’est uniquement le fait que mon chemisier ne tenait ...