1. Fleur, véto, conte florès


    Datte: 22/03/2021, Catégories: fh, ff, grp, cocus, sauna, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, couple,

    ... moments d’extase. Cette femme à genoux, face à l’objectif, les yeux mi-clos, la bouche grande ouverte, une main posée au sol, l’autre entre ses cuisses, c’était bien moi. L’homme était en train de la besogner, planté profondément dans sa chatte, un bras en l’air comme font les cavaliers pendant un rodéo. Il semblait hurler en même temps, comme s’il prenait possession d’un sanctuaire. Terrifiant de réalité, ce cliché montrait bien une femme au paroxysme du plaisir, et un homme au sommet de sa virilité. Un couple en symbiose, se livrant à une communion des sens. Une photo belle, mais pas une belle photo, parce que la salope en gros plan, c’était moi. Puis des autres, en série, qui se suivent et se complètent. Elle est allongée sur le dos, les bras autour du torse puissant de son amant. Elle écarte grand les cuisses. Leurs visages sont très proches. Ils sont tendus, extatiques. Ils se regardent dans les yeux. Leurs bouches sont ouvertes. On voit clairement les langues qui se lient. Ce n’est pas du sexe. Ça ressemble à de l’amour. Ça ressemble à une fusion des sens et des esprits, à une extase partagée, à un bonheur total. J’avais une boule dans la gorge, mes jambes tremblaient. Mon bourreau semblait prendre un plaisir fou à me torturer. L’homme a la tête en arrière, les yeux clos. Elle est à genoux entre les genoux de l’homme, et tient son sexe par la base, en tendant la peau au maximum. On distingue un jet de foutre comme suspendu dans l’air. La femme a sorti sa langue et ...
    ... cherche le liquide. C’est manifeste. Elle vient de le faire jouir et veut boire sa semence. Je me souvenais de ce moment, évidemment. Il voulait se retenir, et j’avais décidé de ne plus le lâcher avant qu’il ne jouisse dans ma bouche. Puis j’avais été prise de court. Je l’avais extrait de ma bouche pour respirer, et c’est à ce moment qu’il avait craché. J’ai cherché à capter sa semence en vol, ce qui nous avait fait rire tous les deux. Le goût salé de son sperme, je l’avais encore dans la bouche en regardant cette photo. On dit que les écrits restent. Les images aussi. Il n’était nul besoin d’être un grand analyste pour affirmer, en voyant cette image, que la femme qui faisait ainsi jouir cet homme, y prenait un plaisir immense. Inutile de nier, de faire semblant. Les faits sont têtus. Il a continué à passer les photos, une à une, sans faire aucun commentaire. Puis est venue la fin, le moment où on se rhabille, celui où sur les visages on peut lire la détresse de devoir se quitter et la promesse de se revoir. Mais je savais la suite. Bien sûr. Le long baiser, puis la main d’Imanol qui passe sous ma jupe, sa langue qui cherche mes tétons, ma jupe qui descend, sa chemise qui s’ouvre à nouveau, nos corps qui se serrent, nus, sa queue qui s’insinue entre mes cuisses alors que nous sommes encore debout, ma cuisse qui se lève pour qu’il me prenne encore, mes sourires joyeux, son extase, son sperme qui coule le long de ma cuisse. Et cette fois vraiment la fin, quand je vais refermer la ...
«12...131415...19»