Fleur, véto, conte florès
Datte: 22/03/2021,
Catégories:
fh,
ff,
grp,
cocus,
sauna,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
couple,
... porte derrière moi, et qu’on a l’impression que je regarde l’objectif en face, comme si je savais que j’étais photographiée. — Voilà, vous avez tout vu. Je dois montrer ça à Jacques ?— Faites ce que vous voulez.— Vraiment ? J’essayais à ce moment d’imaginer où il pouvait bien se trouver. En effet, sur la photo, je l’ai pleine face. Il ne pouvait être que derrière la fenêtre qui se trouvait juste dans le dos d’Imanol. Le photographe avait dû changer plusieurs fois de place, utilisant chaque fenêtre. À moins que des appareils aient été cachés dans la pièce, mais c’était peu vraisemblable. Souvent, une photo de loin était suivie d’un gros plan. Il fallait quelqu’un pour actionner le zoom et surtout, fixer le bon endroit. — Où étiez-vous ?— Qu’importe ?— J’ai besoin de savoir. Imanol était votre complice ?— Absolument pas.— D’où avez-vous pris ces photos ?— Vous voulez tout savoir…— Oui.— Il y a des caméras-espion plein son cabinet. Je les ai posées la semaine dernière à la demande de votre mari. Et j’étais là, en plus, derrière les fenêtres.— À la demande de mon mari ?— Oui. Il était persuadé que vous aviez une histoire avec Imanol.— Ce n’était pas le cas.— Hummm. Ce n’est pas ce que disent ces photos ! Je venais de réaliser que cet homme avait tout vu, tout entendu ; que peut-être même ça l’avait excité de me regarder faire l’amour. Quel odieux personnage. Il avait tout vu de mon corps, vu à quoi j’étais la plus réactive. Il m’avait vue jouir. Il m’avait entendue demander à ...
... Imanol de se déchaîner. Il avait gardé ces photos pour mon mari, mais ses souvenirs devaient aller bien au-delà de ces images. Il avait eu le son et l’odeur, l’intensité de l’instant. Nous étions presque intimes. Et il aurait pu se contenter de faire quelques photos compromettantes, mais non, il avait saisi les regards, les attitudes, les mouvements, les détails de nos extases. Il avait capturé mes extases et fixé mes plaisirs. — Pourquoi me montrez-vous tout ça ? Vous voulez quoi ?— Pour être franc, je n’en sais rien. Soit je les montre à votre mari, soit je les garde.— Vous attendez quoi de moi ? Je m’attendais à un vulgaire chantage, et à devoir payer ; en nature peut-être. Après tout, il n’avait pas hésité à payer de sa personne pour obtenir des clichés de près de Marion la bouche pleine de sa queue. Et j’étais prête à sortir son sexe, que j’avais aperçu sur ces photos floues, pour le sucer en échange de sa carte mémoire. J’avais d’ailleurs avancé ma main vers son entrejambe pour lui montrer que j’étais prête à tout. Il a saisi mon poignet, rejetant ma main vers ma cuisse. — Je ne veux pas vous baiser. Ne vous inquiétez pas.— Vous voulez quoi alors ?— Je voulais vous connaître un peu mieux. Vous voir de près, vous regarder dans les yeux.— C’est fait alors. Donnez-moi la carte mémoire.— Ce n’est pas dans mes plans.— C’est quoi votre plan.— Moi, mon truc c’est la photo. Vous l’aurez compris.— Bon, et alors ?— Vous êtes un excellent sujet. J’en ai photographié des femmes ...