1. Le ridodo


    Datte: 05/04/2021, Catégories: fh, hplusag, vacances, amour, cérébral, noculotte, Oral coupfoudr,

    ... cul, c’était bon ! Trop bon ! Harold, tout accaparé par Hugo a mis du temps avant de s’apercevoir de ma situation. Pourtant, ma robe était courte et mes cuisses largement assez ouvertes pour qu’il ne rate rien de la perspective, assis au sol à deux mètres vingt-cinq de mes genoux ! Non pas qu’il ait eu la vue basse, mais il était tellement accaparé par Bébou ! Pour un peu, j’en aurais été jalouse. Quand enfin, il a réalisé, j’ai eu droit à un grand sourire, mais il a fait non-non-non de la tête avant de désigner Hugo ! J’ai haussé les épaules, fais une moue, genre « Oh, il ne voit pas, hein, et puis il ne comprend pas » Mais Harold a continué de dire non : — Hep-hep-hep, stop, je ne peux pas jouer avec Bébou et m’occuper de ton bijou ! Chaque chose en son temps, mère indigne ! J’ai refermé mes cuisses, joué la vexée, l’offensée, l’offusquée, mais au fond de moi, j’étais tellement attendrie par sa responsabilité. Bref, d’la s’cousse, me restait plus qu’à patienter ! Pour tout dire, il m’a fallu patienter longtemps. Le bain d’Hugo, le biberon du soir, le coucher du Roi ! Là, j’aurais bien pris un apéro, une mise en bouche par exemple, mais queue de chie, Monsieur était déjà aux fourneaux ! Il avait ramené des provisions. Et qu’on ne me demande surtout ce que nous avons mangé ce soir-là. Aucune idée, mais c’était très bon. À table, je m’étais quand même glissée juste à côté d’Harold, pas en face. Non non non, je ne voulais pas d’un dîner en tête à tête, mais plutôt genre tête… ...
    ... à queue. Là encore, tintin, walou ! Oh, Monsieur a bien consenti à me m’asticoter la bonbonnière deux ou trois fois, mais léger ! J’ai compris qu’il me faudrait attendre le dessert ! Voire même le café ! L’enfoiré m’a casé devant l’évier après avoir débarrassé la table. — À la plonge, moussaillon !— Moussaillon ! Moussaillon ? Et pourquoi pas souillon ? Traite-moi de salope aussi pendant que t’y es ! Oh, oui, oui, traite-moi de salope ! Attends, tu vas voir, Capitaine-Amiral ! Par chance, l’évier de notre cabane (notre ? MA cabane !) était d’époque, en grès, rustique, d’origine ! Et il faut croire que les générations passées étaient rase-moquette, car effectivement, il était très bas ! Tant mieux. Comme ma robe était courte et que je ne portais toujours pas de culotte… Même pas eu besoin de relever le drapeau, de hisser les couleurs, il a vite abordé le Contre-Amiral. Contre mes fesses, tout contre ! Il a bien ancré ses paluches à mon bastingage, procédé aux vérifications d’usages, abaissé la courtine pour libérer mes ogives. Seins à l’air joyeusement malaxés, tétons pointés. Consciencieux, mon marin insolent a récupéré une main, laissant un de mes nibards orphelins, pour continuer sa check-list ! Lubrification de la soute, OK, ouverture du logement ogive, OK. Et vogue la galère, torpille en approche ! Il a raté son but le tireur, dévié, glissé entre les rails de lancement, buté sur mon détonateur ! Mais je suis certaine qu’il l’avait fait exprès : je ne peux pas croire qu’il ...
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