1. Véro et les cinq mousquetaires


    Datte: 05/04/2021, Catégories: fhhh, couplus, Collègues / Travail grossexe, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte,

    ... c’est une étrange impression que de sentir mes doigts se perdre dans sa chevelure quasi féminine. Je le sens se détendre, il tourne son visage vers moi et un beau sourire s’y dessine. Et sans même que j’ai besoin de formuler mes pensées, il me dit : — Ouai, tu as raison. À quoi bon la retenir ? Elle reviendra si elle veut. Et en guise de complément à ses paroles, il pose sa main sur ma jambe et la remonte peu à peu jusqu’à découvrir mes fesses nues : il n’en avait pas eu la possibilité dans l’épisode de la salle d’attente où il avait dû se cantonner à mes pieds et mollets ? Ça avait été agréable pour moi, mais probablement frustrant pour lui. Découvrir ma nudité accentue encore son sourire qui gagne tout son visage. L’autre main rejoint la première et il m’entoure le fessier qu’il malaxe avec un plaisir manifeste. C’est décidément une partie de ma personne qui inspire beaucoup les hommes. Je sais que ma poitrine leur fait aussi le même effet. J’enlève les boutons de ma robe devant ses yeux admiratifs, mais cette fois, je les retire tous et fais tomber le vêtement au sol. Puis, avant qu’il ait eu le temps d’esquisser le moindre mouvement, je m’assieds à califourchon sur lui : là, je suis résolument directe, mais j’ai des devoirs d’hôtesse, car il y a trois messieurs en attente ! Je prends les mains de Julien que je pose sur mes seins et l’incite à me les pétrir : je sais qu’il va aimer ça et moi aussi ! Il me regarde avec une expression de béatitude et de surprise mélangées, ...
    ... comme s’il avait du mal à y croire. Je lui enlève ses lunettes que je pose sur la table toute proche, lui prends le visage entre mes mains et pose mes lèvres sur les siennes. Ses grands yeux continuent de me fixer puis se ferment tandis qu’il se laisse aller à mon baiser. Sentir son bonheur accentue mon désir et mon bassin se met à onduler de lui-même. Mes mains descendent alors vers son pantalon dont j’extrais un pénis de belle taille. Je ne peux plus attendre ! D’une main, j’écarte les lèvres de mon vagin et de l’autre, je le guide en moi. Je pousse doucement pour qu’il prenne plaisir à sentir son gland se frayer un chemin dans mes replis intérieurs. Il ne bouge pas, les mains toujours posées sur mes seins, concentré sur son bonheur. J’entame un va-et-vient d’abord lent et avant chaque nouvelle poussée, je frotte son sexe sur mon clitoris. Je pourrais ainsi continuer longtemps, mais j’ai encore fort à faire… J’accélère donc peu à peu le rythme et Julien me saisit les fesses pour accompagner le mouvement jusqu’à ce que, dans un spasme et un cri sourd, il s’épanche longuement en moi. J’adore ce moment magique où je donne du plaisir à un homme même si je ne ressens pas d’orgasme. Donner, c’est recevoir. Il y a peu, ce don de moi n’était qu’à destination de mon mari, mais il m’a appris à m’ouvrir aux autres et je lui en suis très reconnaissante. Je lui donne un dernier tendre baiser et lui dis : — Tu nous rejoins ? Je me lève et ramasse ma robe que j’enfile. Le regard de Julien ...
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