Le parloir
Datte: 06/04/2021,
Catégories:
fh,
ff,
voisins,
fsoumise,
vidéox,
odeurs,
Oral
fdanus,
initff,
lieuxpubl,
... pouvait rivaliser avec les énormes bites de ces acteurs professionnels aux pectoraux bronzés et sculptés. Mais seize centimètres en érection me convenaient. De ce point de vue, je fus particulièrement rassurée lorsque je m’enfonçai presque entièrement dans la bouche un double-décimètre. Restait à savoir si j’étais en mesure de recevoir la totalité du jus de mon homme dans la bouche car, en tombant sur des témoignages dans un forum féminin, j’appris que plusieurs filles avaient vomi sous les jets puissants de leurs compagnons, ceux-ci leur déversant les giclées sur les amygdales en leur maintenant profondément la tête. Surtout, l’état de propreté du sexe de Franck m’inquiétait. Saurais-je résister à l’odeur, sachant que les détenus ne se douchaient qu’une fois par semaine ? Puis le mardi arriva. Le mois de juin aidant, je mis une jupe courte faisant ressortir mon cul ferme, un chemisier blanc échancré mettant en valeur mes seins, le tout surmontant des escarpins noirs à talons aiguilles. Je pris soin de placer un paquet de mouchoirs en papier et des lingettes dans mon sac à main. Deux heures plus tard, j’arrivais en bus devant la prison. Des familles entières patientaient. La lourde porte métallique s’ouvrit. Silencieusement, au milieu de nombreuses femmes — des mères et des jeunettes essentiellement — je rentrai. Je sentais le peu d’hommes présents me mater le cul. Mais je m’en moquais. J’étais toute chose, absente, guidée par le besoin de satisfaire Franck. Une ...
... femme-objet en quelque sorte. Bizarrement, je n’y allais pas à reculons. Il y avait du défi dans la démarche, celui de donner du plaisir, celui de se découvrir vicieuse, celui aussi de prouver à Muriel, ma cadette, que j’étais capable de me comporter en salope. Au loin, j’aperçus la rotonde. Une serrure, une deuxième, le couloir D et au fond, les parloirs. Une table en formica, deux chaises en plastique. Équipement sommaire dans six mètres carrés. Franck m’attendait. Une demi-heure devant nous. Mais avait-il reçu mon courrier ? Que savait-il de la démarche qui me gouvernait ? Dans l’affirmative, me croyait-il en mesure de mener à bien le phantasme décrit ? S’était-il lavé le sexe ? Il se leva, un léger sourire au coin des lèvres. D’emblée je lui tendis les miennes, sans prendre soin d’enlever mon sac à main toujours en bandoulière. Son baiser fut fougueux. Long et fougueux. Rapidement, je fus envahie par cet organe puissant qui pressait ma langue, qui me fouillait, qui s’insinuait sous mes lèvres fines, le long de mes dents. Puis ses lèvres happèrent ma langue, délicieusement, tendrement, virilement, comme une chatte aspire un phallus. En même temps, il glissa sa main gauche sous mon chemisier et se mit à me caresser mes seins gonflés. Ses gestes étaient désordonnés, irréfléchis. Sa deuxième main chercha hâtivement, sous ma jupe, mon sexe gonflé, trempé. J’étais excitée par la situation, confuse également. Mais il fallait réagir. Reprendre le dessus. Car il n’était pas prévu qu’il me ...