Le parloir
Datte: 06/04/2021,
Catégories:
fh,
ff,
voisins,
fsoumise,
vidéox,
odeurs,
Oral
fdanus,
initff,
lieuxpubl,
... pénètre, ni même qu’il me touche. S’il voulait baiser, qu’il le fasse, mais avec ma bouche. Je réussis à me libérer de mon sac à main, qui tomba au sol, avant de glisser une main à hauteur de son entrejambe. À travers le tissu, je sentais son sexe plein de désir, dur comme de la pierre. Ma chatte échappa à ses doigts au moment où je m’accroupis, frottant mon visage et ma bouche à travers l’étoffe du pantalon et du slip. Il porta ses doigts plein de ma mouille dans mes cheveux mi-longs couleur de jais. Plus rien ne me gênait, même pas l’odeur diffusée par un sexe qui devait être en érection depuis de trop longues heures, ni même les bruits de couloir. J’étais entièrement soumise. Mais je lui faisais confiance, espérant qu’il me respecte suffisamment pour m’avertir d’une arrivée imminente des matons. J’avais désormais une folle envie de baiser, de l’insulter, de lui dire toute la souffrance qui était mienne en son absence, d’évoquer ses comportements coupables l’ayant conduit ici. Mais ma seule activité fut de déboutonner son pantalon et de baisser son slip. Du même coup, je le repoussai dans un coin opposé à la vitre, caché en partie à l’aide d’un dossier de chaise. Sans desserrer la bouche, je lui jetai un regard avide lui faisant comprendre que j’entendais désormais respecter le contrat : celui de lui faire cracher son venin. Sa bite, fine, était tendue vers le plafond. Décalotté, son gland était turgescent, cramoisi. Une goutte perlait au sommet. Que faire ? Était-ce ...
... bon ? Mon cœur battait la chamade. Je ne maîtrisais plus rien. Ma bouche à hauteur de ses couilles, je sortis la langue. Ses parties étaient lisses. Longuement, je m’appliquai à glisser ma langue dans le sillon séparant les deux boules. Puis, je la glissai contre la colonne de chair, remontai contre la veine irrigant la bête. Je rouvris les yeux. Les redressai vers Franck. Il était bien là, la tête collée au mur, les yeux clos. Cette goutte, toujours au sommet. La bite, même si elle sentait fort, semblait propre. Peut-être avait-il récemment pris sa douche. Seule au monde avec cette goutte fixée sur le méat urinaire. Ni une ni deux, ma langue aborda le gland, en titilla les abords de la pointe, et vint glisser sur le sommet, léchant avec force le liquide séminal. Un ouf de contentement sortit de la bouche de Franck. Un ouf qui me donna envie de recommencer la manœuvre, doucement, puis en cadence, de long en large, puissamment, avidement. Pas d’odeur, pas de rejet, pas d’envie de vomir. Je mouillais abondamment. Mon slip était trempé. Une envie furieuse de me branler, comme dans mes jeunes années, me tiraillait les entrailles. Je repris de plus belle la fellation. Comme dans le film. À coups de langue contre la colonne de chair, à coups de succion sur le gland, à coups de mouvements du poignet de bas en haut. Ces derniers agitaient Franck. Je calmai le jeu. Le repris en bouche, guidant le gland contre les parois intérieures de mes joues. J’étais en feu. J’enfonçai à plusieurs ...