Le parloir
Datte: 06/04/2021,
Catégories:
fh,
ff,
voisins,
fsoumise,
vidéox,
odeurs,
Oral
fdanus,
initff,
lieuxpubl,
... d’ailleurs. Vierge du cul j’étais, vierge du cul je resterai, pensais-je souvent. Force fut de constater qu’elle trouva rapidement le chemin de mon œillet avec sa langue. Je me mis à gigoter, mais Muriel se rebella à son tour, pesant de tout son poids pour que je ne bouge plus. Finalement, je cédai. D’autant que la caresse anale, même si je la contestais, était miraculeusement agréable. Ses coups de langue, circulaires, puissants, me faisaient chavirer. Je n’en pouvais plus de ce bonheur, appuyant mon pubis contre le matelas en espérant secrètement m’empaler sur un ressort fatigué. Mais Muriel s’arrêta. — Mets-toi à quatre pattes ! Par terre ! Nouvel ordre, auquel, encore, je ne résistai pas. Pourquoi par terre ? Pour avoir plus d’assise, le matelas étant jugé trop bancal pour qui voulait se positionner sur les genoux. Et le manège reprit. — Écarte mieux ! J’obéis. Sa voix, habituellement suave, était moins agréable. Sa réponse à mon geste dépassa mes espérances. À nouveau elle glissa sa langue entre mes fesses, la faisant coulisser entre mon sexe trempé et mon anus désormais humidifié. Elle m’obligea à descendre sur les avant-bras, les reins cambrés, le cul offert, comme une chienne. Elle jouait de son menton également, massant par à-coups ma chatte pendant qu’elle forçait de la pointe de sa langue ma grotte interdite. Petit à petit, pourtant, mon anus se dilatait et les sphincters ...
... devenaient moins résistants face aux assauts. Bonheur intense, j’étais dans un autre monde. De petits cris, désormais, accompagnaient les coups de boutoir de ma meilleure amie. Puis elle se retira. Revint vers ma chatte où elle se délecta de mon jus avant d’y glisser deux de ses longs doigts manucurés. Elle les ressortit juteux, trempés, et les porta à ma bouche. Sans résistance aucune, je léchai les ongles de ma maîtresse, je goûtai le suc de mes entrailles. Puis elle recommença, deux fois, trois fois, nos bouches se délectant de ce doux nectar qui ne ressemblait en rien au sperme âcre de Franck. Toujours positionnée derrière moi, elle m’inonda le fessier de ma mouille. Ma raie était gluante. Le démon m’habitait. J’en voulais encore plus. Plus de doigts dans ma chatte, et un bon coup de langue dans le cul. — Oui, recommence, dis-je. En guise de réponse, elle m’enfonça, sans coup férir, son index dans le cul. Instantanément, sous le coup de la surprise, je me mis à jouir, enserrant son doigt de mes sphincters avant de m’affaler à plat ventre. — La prochaine fois, je t’enculerai ! lança-t-elle en s’allongeant sur moi. Qu’entendait-elle par m’enculer ? Ne venait-elle pas de le faire ? Et pourquoi une prochaine fois, après tout ? Car, personnellement, je mettais cet événement, certes riche en émotions intenses, sur le compte d’un dérapage, d’une tendresse mal maîtrisée. Pourtant, ce n’était que le début.