Le parloir
Datte: 06/04/2021,
Catégories:
fh,
ff,
voisins,
fsoumise,
vidéox,
odeurs,
Oral
fdanus,
initff,
lieuxpubl,
... reprises toute la bite de mon homme dans ma bouche, le gland venant frotter contre le fond de mon palais. Un geste brusque me donna la nausée. Mais je tins bon. Le sexe ressortit plein de bave poisseuse, du liquide que je pris soin de récupérer. Ça faisait un quart d’heure maintenant, dont près de dix à jouer avec son engin. À la maison, il n’était jamais si endurant. Mais les bruits gutturaux qui émanaient de Franck en disaient long sur son état. Il ne tiendrait plus très longtemps. Certes j’allais rester sur ma faim. Mais là n’était pas le problème. Je repris son sexe dans ma main, m’employant à faire coulisser la peau contre la chair, lentement, plus vite, à nouveau lentement, puis en serrant fort sa bite. Une main suffisait contrairement aux bites extravagantes que j’avais eu l’occasion de voir deux jours plus tôt avec Muriel. Soudain, je sentis monter le désir. Les bruits de gorge devenaient des râles, sa bite était saccadée de spasmes. Ne modifiant en rien mes coups de poignet, je portai le gland entre mes lèvres. Aidé de ma langue, je repassai sur le méat. J’entendais surtout ralentir la pression des jets à l’aide de mon muscle. Je ne réfléchissais plus. J’allais tout boire, je le savais. Je rouvris les yeux, Franck était toujours dans un état comateux. Puis il éjacula. Ma langue n’y put rien, elle résista à grand-peine sous les giclées, chaudes et saccadées. Il en venait énormément, de toute part, presque en continu. De quoi vous remplir la gorge. Je ne pus compter ...
... les saccades. Mais eus l’agréable surprise de ne pas détester. Goût âcre, voire légèrement salé, ce n’était pas détestable du tout. Franck avait ouvert les yeux. Il me regardait, enfin. Du jus s’échappait à la commissure de mes lèvres. Mon palais était couvert de foutre. Mais je n’avais encore rien avalé. Je pris mon temps. Il me regardait. Je soutenais son regard. Quelques secondes. J’eus bien un haut-le-cœur au moment de déglutir. — Dépêche-toi de sortir de là si tu veux qu’on recommence, lui dis-je en me relevant. Je lui remis des lingettes pour qu’il se nettoie le sexe, m’essuyai la bouche à l’aide d’un mouchoir et repartis. Sans le regarder, ni même lui dire au revoir. Nous n’étions pas au terme de notre demi-heure de parloir mais le geste que je venais d’accomplir valait tous les mots d’amour. Et surtout, il le savait. Le retour sur Paris fut moralement compliqué. J’avais la chatte en feu, le slip trempé et la bouche malodorante, mais surtout, je retournais dans mon trois-pièces du quartier Montparnasse, seule, et dans l’incertitude d’une libération à venir. Une nouvelle fois, ce furent les bras de Muriel qui me réconfortèrent. Je lui racontai tout. Y compris les sentiments qui avaient été miens durant la fellation. Muriel n’avait pas besoin de savoir lire entre les lignes. Elle comprit rapidement que, dans l’adversité, j’avais pris un réel plaisir à sucer Franck dans un lieu insolite. Surtout, elle m’encouragea à recommencer ce type d’expérience, à réveiller la chienne ...