Comment je suis devenu un homme Ch. 03
Datte: 27/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... n'aurais aucun mal à m'engager dans l'utérus maternel. Sans problème ma bite la pénétra d'un coup. J'y allais bien à fond dès le premier coulissement, elle fut totalement éveillée et s'activa. Comme je l'avais prise de côté, je la fis verser sur le dos. La dominant bien, je me déchaînais, je n'avais pas envie de traîner, et je me doutais bien que la seul chose qui la calmerait serait de ressentir ma semence gicler dans son cul. Exprimé comme cela, ce n'est pas "romantique", mais la romance maintenant, je la réservais à Gigi. Mon éjaculation, ne calma pas entièrement ma chère maman, à peine un quart d'heure après, elle voulait manifestement revenir à la charge, et commençait à flatter mes testicules. Comme ma gaule réagissait, elle se glissa sous les draps et entama une fellation appliquée. Je la laissais œuvrer. Les yeux fermés j'imaginais que c'était les jolies lèvres de Gigi qui me pompaient. Cette pensée agit comme un accélérateur et je ne tardais pas à jouir une nouvelle fois. Je n'eus pas besoin de lui maintenir la tête, d'elle même elle avala mon sperme et me nettoya le jonc. L'idée qu'elle pourléchait le poireau qui avait donné du plaisir à une autre avant elle ne lui effleurait sûrement pas l'esprit, mais me rendait tout guilleret. Je savais que je ne pourrais pas échapper à Gisèle, mais il était exclu que je vienne coucher chez elle comme la nuit précédente. Contenter deux femmes avides, dans deux foyers différents chaque nuit était certes une idée plaisante, mais ...
... guère envisageable sur la durée. Il était impératif que je le fasse comprendre à la belle Gigi. Je commençais à la conditionner au cours de la matinée, conscient qu'il faudrait en remettre une couche lors de notre « dînette » amoureuse. Est-il nécessaire de préciser que jusqu'à la fin d ce mois de juillet six fois par semaine je "déjeunais" avec Gisèle car le dimanche elle allait rendre visite aux parents de son cocu. Lorsque maman partit rejoindre mon père, j'emménageais carrément chez elle: j'étais dans la peau d'un jeune marié et nous vécûmes en quelque sorte une "lune de miel", baisant jusqu'à quatre fois par jour... Vers la fin août, je commençais à m'étonner de n'avoir eu à souffrir aucune interruption dans nos ébats, J'avais beau me triturer les méninges, aucune pose imposée par la nature n'était venu troubler nos parties de jambes en l'air. Tout au plus il me semblait avoir remarqué des traces "sanglantes" dans mon slip (que j'avais du jeter pour ne pas éveiller la nature soupçonneuse de ma mère) après notre première dînette, début juillet. Je décidais donc d'éclaircir ce point, et questionnais Gisèle: - Tu ne me caches rien Gigi? - Non, mais de quoi veux tu parler? - Je sais pas, mais, t'as jamais eu de règles depuis ... - Si, si juste avant je venais de les avoir. - Attends, mais c'était il y a près de six semaines! - Faut croire que tu vas être papa mon chéri! - Et Raymond, t'en fait quoi dans l'affaire? En fait j'étais ravi. À seize ans, non seulement je cocufiais ...