La leçon d'Isabelle
Datte: 28/04/2021,
Catégories:
fh,
fagée,
jeunes,
frousses,
copains,
odeurs,
Oral
préservati,
pénétratio,
jeu,
init,
humour,
... semaines plus tard, toujours au cinéma. Le mois suivant, enfin dans ma chambrette, plus de slip, ni elle ni moi. Jeux de mains. Puis serments de fidélité, jeux de lèvres et de langue. Amour éternel.Tu vois, Charlotte, ce que tu touches avec tant de délicatesse est fait pour pénétrer gentiment dans ta délicieuse fente qu’humecte à souhait ton délectable nectar. Mais non, ça ne te fera pas mal du tout, mais oui je serai très doux, mais non ce n’est pas trop gros, bien que fort conséquent, en effet. La routine, quoi, si j’en croyais livres et longs métrages. En laissant Charlotte au frais le temps nécessaire à la conquête d’Isabelle, j’arriverais au même résultat, rien ne servait de courir plusieurs hases à la fois, il suffisait de les cueillir à point. Je me mis donc dans la tête qu’Isabelle était en jachère, qu’il m’appartenait d’en devenir le laboureur et que son sillon ne manquerait pas de s’ouvrir sous mon soc pour peu que je sache m’y prendre. * * * La chance sembla bientôt me sourire : Rodolphe devait revenir pour une semaine. Uniquement pour voir Audrey ! Enfin, un peu plus, elle y comptait bien. Problème : où coucher ? Ma sœur rechignait à "recevoir son fiancé" comme elle disait fort chastement, dans cet appartement si petit, avec Isabelle de l’autre côté de la mincissime cloison. Pudeur toute de délicatesse adorablement féminine, ou crainte de se faire piquer son fougueux amant par une colocataire en déshérence ? — À ta place, Audrey, je me méfierais. Isabelle l’est ...
... tellement !— Quoi ?— Belle. Isabelle est belle ! Il suffit de la convaincre de venir dormir avec moi, en tout bien tout honneur.— Tu parles ! Elle ne voudra jamais.— Elle aurait peur d’être subjuguée par mon charme souverain ! Elle m’aime donc, ô joie, joie, pleurs de joie !— Tu me fatigues.— Je te laisse ma chambre pour la semaine.— Et toi ?— Pff… Ponts, terrains vagues, squats sordides. Et pour finir, les eaux mêlées de la Saône et du Rhône, la glaciale morgue. Ou ta chambre, Isabelle n’osera pas refuser. Audrey s’en alla, pensive. Je retrouvai les deux filles le lendemain. — Isabelle, je veux bien laisser ma grande sœur disposer de ma chambre et prendre la sienne pendant une semaine, mais je tiens à te prévenir que plus que probablement j’aurai de la visite. Je suis harcelé par maintes jeunes filles folles de leur corps et du mien. Pas d’objection ? Voilà comment il faut parler aux filles ! Les attaquer à l’estomac, bien que ce ne soit pas, et de très loin, le morceau d’elles que l’on préfère. * * * Quelques jours plus tard, en fin d’après-midi, Audrey vint dans ma chambre, avec de quoi se vêtir pour quelques jours et se dévêtir les nuits, sa brosse à dents et quelques babioles. Je rejoignis la rue Sainte-Opportune, le coeur battant. J’avais la clé mais j’eus la délicatesse de sonner. — Ah, c’est toi. Entre. La chambre d’Audrey. La cuisine. La salle de bains est au fond.— En face de ta chambre ?— Oui. Je me lève à sept heures.— Il faudra donc que je m’ablutionne avant, je ...