La leçon d'Isabelle - Histoires de Sexe

La leçon d'Isabelle

... comment cela se passe ?— Pas vraiment.— Menteur !— Bon, il y a eu les cours d’éducation sexuelle, et mes lectures, et les films cochons mais ils m’ont plutôt dégoûté.— C’est bon signe, et je n’en attendais pas moins de toi… Il vaudra mieux être dans ma chambre pour la suite de la leçon. Suis-moi. Elle s’assura que je prenais la boîte. J’appliquai le sommet de ma verge contre mon estomac – enfin, le bas de celui-ci, soyons honnêtes – pour éviter un effet désagréable de balancier mais arrivé dans sa chambre j’enlevai la main sans fausse pudeur. Elle sembla apprécier. Tout ce que nous faisions était on ne peut plus naturel. Elle ne fit donc aucunement obstacle à la descente du pantalon de son pyjama. — Tu as compris, Julien, c’était à toi de l’enlever. Tu aurais seulement dû en profiter pour caresser les cuisses au passage. L’extérieur, et surtout l’intérieur, plus chatouilleux, plus doux. Recommençons. Bon. Encore. Si Charlotte ne dégage pas ses chevilles, elle risque de tomber. Elle est censée le faire toute seule, d’un mouvement gracieux. Mais tu peux l’y aider en soulevant délicatement un de ses pieds, puis l’autre. Les mains autour de la cheville droite, hop. Caresse un peu, on adore ça, en règle générale. Oui. L’idéal, tu vois, ce serait que tu déposes un respectueux baiser sur le pied. On chatouille dessous si l’on veut mais ce n’est pas recommandé a priori. ...

... L’expérience te montrera s’il convient de le faire, pour moi tu peux t’en dispenser.— Tu as de très jolis petits pieds, Isabelle.— On peut en effet faire tous les compliments que l’on veut. Passons à la suite. Je laissais entendre : les doigts. Tu peux faire l’impasse en ce qui me concerne, ce soir. Donc immédiatement, les lèvres et la langue. Il serait étonnant que Charlotte se soit rasée le pubis. Moi je ne le fais pas, je tiens à ma toison d’or rouge. Alors, les rousses sentent mauvais, Julien ?— …Pas dit ça… parlé d’odeur spécifique. …dorable, …tienne !— Tu passeras la langue délicatement entre les petites lèvres. Oui, comme si tu lapais du lait, petit chat ou jeune chien. Tu verras bien ce qu’elle préfèrera. Moi j’aime assez jeune chien un peu fou. Enfonce ta langue. Plus profond. Bouge. Reviens, taquine le clito, prend-le entre tes lèvres, suce-le, mais doucement, doucement ! Elle parlait mais agissait aussi : la capote gaina fort prestement ma verge. Isabelle se laissa tomber sur le lit, les cuisses ouvertes. J’étais à même d’accomplir sans autres conseils les mouvements et les gestes nécessaires, qu’elle accompagnait d’ailleurs fort judicieusement. Quand tout fut terminé, à notre intense et mutuelle satisfaction, elle me dit que ce n’était pas si mal pour une première fois mais que j’avais besoin de deux ou trois autres leçons pour être pleinement opérationnel avec Charlotte.